Police polissonne (45) - Histoires de Sexe

Police polissonne (45)

... rhabillez-vous et vous pourrez disposer ; mais réfléchissez, et puis il pourra toujours trouver un travail comme videur ou vigil et même dans la police.

En sortant de la visite, Sonia réfléchit à la suite qu’elle va donner à cette affaire et rejoint ses camarades qui se sont déjà douchés. Elle fait escale aux sanitaires et en ressort cinq minutes plus tard parfaitement propre. Bien que le restaurant soit normalement fermé, à cause de l’heure tardive, ils s’y rendent pour y prendre un copieux repas spécialement préparé à leur attention dont les odeurs et les saveurs réveillent leurs papilles ; mais pas que. Pour l’occasion, les deux filles se sont installées côte à côte et Myriam, toujours aussi enflammée pose sa main sur la cuisse de Sonia et lui chuchote :

— Dis, ça ne te tenterait pas une belle partie de cul ce soir, histoire de conclure en beauté cette formation ?

— Humm…une belle partie de baise ? Figure-toi que j’allais te le proposer, attends, on va allumer les garçons, répond Sonia et poursuit :

— Hé les gars, vous nous faites une petite place entre vous ?

— Houai bien sûr, allez, on se décale, suggère Olivier.

Sitôt dit, sitôt fait ; Simon et Romain échangent leur place avec les filles qui se retrouvent ainsi placées de chaque côté de la table et avec deux garçons d’un côté et un de l’autre côté d’elles. Le repas à peine commencé qu’elles offrent aux garçons un joli concours de mime dont la signification de chaque geste et mouvement de leur visage ...

... est sans équivoque : leurs regards provocateurs, leurs mimiques, les langues passées sur leurs lèvres et les doigts sucés de façon si sensuelle que les garçons sentent venir en eux une inévitable envie de se faire les deux femelles en chaleur.

— Hé les filles, vous êtes en train de jouer avec votre santé, et si vous continuez à nous chauffer ; je pense que toute à l’heure, vous allez passer à la casserole ; pas vrai les gars ?

— OK, alors Myriam, on fait quoi ?

— À ton avis, on continue ; ou…

— On continue, coupe Sonia. Hé les gars, après le repas ; vous avez intérêt à être à la hauteur.

— On le sera, répondent-ils à l’unisson.

— Alors ce soir, Myriam et moi allons vous offrir le spectacle que vous adorez, et vous allez aussi nous faire plaisir.

— Pas de soucis, répond Christian.

— Sûr ? Puisque nous, on joue les gouines pour vous, alors nous, on voudrait vous regarder baiser entre vous, comme de vrais pédés ; ça marche ?

Le silence est tombé d’un coup, les garçons plongent dans leur assiette, et les filles s’amusent de la situation ; leurs regards en dit long sur ce qu’elles ressentent.

— Alors les gars, on se dégonfle ? Pour notre dernière nuit ensemble ; vous pourriez faire un effort, dit Sonia en attrapant à travers le pantalon de survêtement, la bite de ses voisins. Le constat est sans appel : ils bandent tous les deux !

— Et toi Myriam, ils bandent ou pas ?

La belle brune qui a compris le jeu de Sonia, palpe les bites à portée de main ...