1. L'étoile du berger


    Datte: 07/02/2018, Catégories: fffh, jeunes, vacances, campagne, hsoumis, fdomine, massage, intermast, hdanus, init, confession, policier, prememois, hsoumisaf, Auteur: Shen, Source: Revebebe

    ... cobaye apparut avec indécence à nos yeux ébahis. Clément avait abandonné son statut de jeune homme bien sous tous rapports pour endosser le costume de curieuse bête sexuelle.
    
    Sous une pluie de plus en plus forte, nous sentions que sa respiration et son cœur s’accéléraient d’une façon menaçante. L’excitation au sein du groupe devenait palpable.
    
    — Eh… Du calme, bel homme ! lui dis-je en souriant.
    — Ça me fait bizarre, que vous soyez comme ça autour de moi.
    — T’inquiète pas, le rassurai-je en l’embrassant sur les lèvres. T’es beau comme un dieu grec…
    — Merci…
    
    Le pénis flasque et le petit paquet de couilles frémirent distinctement à ce geste d’amour. Mes mots raisonnaient dans sa tête.
    
    — Regardez-le bien les filles… dis-je, amusée.
    — Pourquoi il ne bande pas ? demanda Pénélope.
    — Si, regarde bien, il commence à être excité… remarqua Mariette.
    
    Avec deux de mes doigts, je rabaissai la peau du pénis pour découvrir le gland. Ce geste provoqua un râle viril de plaisir, presque inaudible. Au repos, son sexe était plus gros que ce que j’imaginais, mais en érection…
    
    — Mon Dieu… C’est carrément énorme…
    — Ça t’excite, Péné ? dit Mariette, amusée.
    — Je crois que ouais, pas vous…
    — Dites pas ça, les filles, je vais… aller trop vite !
    — Ah non, retiens-toi ! On t’a à peine touché ! Et reste allongé, ne lève pas la tête…
    — Bon… Je ne regarde pas et j’imagine un truc moche… Que je suis… Je ne sais pas trop… À table avec les frères Busson… Quelles sales gueules ils ...
    ... ont ! fit le garçon, dont le t-shirt se rabaissait progressivement.
    
    D’une main experte, je dénudai à nouveau le torse du garçon jusqu’aux aisselles.
    
    – Je peux enlever le t-shirt, fit Clément. S’il n’y a que ça…
    
    — Non, j’aime bien te voir comme ça… Tu es beau.
    
    Alors qu’il regardait l’orage, Clément sentit les doigts de Mariette inspecter doucement ses testicules puis les soupeser. Le jeune homme était extrêmement sensible à nos gestes, puisqu’il ne pouvait pas s’empêcher de tendre son ventre à chacun de nos frôlements. Ses gémissements durement réprimés nous prouvaient que nous étions en train d’explorer avec envie l’un des endroits les plus sensibles de l’anatomie masculine.
    
    — Tu veux toucher ses testicules ? demanda Mariette à sa sœur.
    — Ok… dit-elle en passant le bout de ses doigts sur la surface duvetée du scrotum. C’est doux… J’aime bien ses poils.
    — Ah bon, murmurai-je, moi je trouve qu’il en a un peu trop…
    — Pas en bas, mais c’est vrai que son pubis est bien couvert… Ça remonte même un peu au nombril…
    — Jamais un truc pareil ne pourra rentrer en moi, ajouta Pénélope, qui ne quittait plus le gland des yeux.
    — J’ai bien envie de voir ses fesses… dit Mariette. Tourne-toi, fit-elle dans la direction du garçon.
    — Ah bon, vous êtes sûres ?
    — Oui, c’est tout ton corps qu’on veut voir. Tourne-toi, ordonna Mariette d’un ton plus ferme. On est curieuse de voir ce qu’il y a au creux de ton dos…
    
    Le garçon s’exécuta. Le derrière de Clément était encore plus ...
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