1. Fleuve tranquille ?


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fh, extracon, fouetfesse, nonéro, Auteur: Agerespectab, Source: Revebebe

    ... deux enfants, c’est pas rien. Enfin que, tout de même, j’ai souhaité mettre du piment dans notre vie, et la situation m’a, comment dire, échappé, non ? On peut le dire comme ça ? Oui, oui, je sais…
    
    Eh bien, que ceux qui n’ont jamais succombé à la gourmandise me jettent la première pierre !
    
    La sérénité retrouvée, nous avons fait l’amour avec une fureur animale. Je crois que chacun d’entre nous avait bien envie de poser des questions sur ce que l’autre avait pu ressentir, vendredi soir, avec son jeune partenaire. Après que notre désir ait commencé de s’émousser, c’est d’abord Luc qui a craqué :
    
    — Est-ce que tu peux toujours te contenter d’un amant de quarante ans?
    — Une fois sur deux, ça ne me pose pas de problème…
    — Tourne-toi sur le ventre que je te claque les fesses !
    — Attends, tu me questionnes, je te réponds avec sincérité !
    — Tu sais très bien que toute vérité n’est pas bonne à dire ! Et une bonne fessée va te faire le plus grand bien, je viens de lire dans une revue féminine que la fessée aide à garder un galbe parfait du postérieur et réduit la peau d’orange.
    — Si tu te mets à lire la presse féminine, je vais te la sélectionner, tu lis n’importe quoi !
    
    Je lui présente quand même mon beau fessier, d’abord pour qu’il n’oublie point de l’admirer, c’est un de mes meilleurs atouts; de plus il a un secret pour me fesser sans que ce soit très douloureux, et en même temps, relancer mon désir, et le sien ...
    ... aussi, je crois.
    
    Et comme prévu, ça a parfaitement fonctionné, il m’a doucement embrasé les fesses, puis m’a pénétrée sans rencontrer l’ombre d’une opposition.
    
    Le temps de retrouver notre souffle, je lui demande à mon tour :
    
    — Ce doit être décevant de faire l’amour avec une vieille ?
    — Mais non, tu sais bien que c’est dans les vieux pots…
    
    Il n’a pas eu le temps de finir sa phrase qu’il a déjà ma main sur la figure et, avec l’autre, poing fermé, je percute ses côtes de toutes mes forces. Il avait prévu une des deux attaques, qu’il a parée, mais pas l’autre, et il geint lamentablement, grimace avec réalisme, je me laisse prendre, lui saute dessus et l’embrasse passionnément en demandant pardon, j’ai frappé trop fort, j’ai pas voulu lui faire si mal, il tressaute de douleur, il pleure ? Non ! Le salaud ! Il rigole comme un gros âne qu’il est, et moi qui ai toujours les fesses en compote, quelle andouille je suis, j’ai épousé un guignol…
    
    Mais un guignol pointu, le salopard ! Il serait pas en train d’essayer de glisser son truc dans ma pauvre founette endolorie qui n’en peut plus ?
    
    Non, en fait, il n’en peut plus, lui non plus. Si j’étais un peu plus garce, je lui mettrais sur le nez un petit couplet sur les amants de quarante ans, mais c’est pas à faire, faut tout de même pas trop bousculer la vanité de l’Homme, alors…
    
    Nous nous endormons tendrement enlacés, repus de sensualité, très contents l’un de l’autre. 
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