Corps-à-corps dans le Vercors
Datte: 11/10/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
jalousie,
Oral
pénétratio,
Humour
policier,
aventure,
Auteur: Ludwig Mrza, Source: Revebebe
... dessus et moi dessous, pendant que nos langues se mêlaient ; puis elle se redressa et s’assit sur moi. J’aimais la sentir et la voir me chevaucher, avec ses seins d’un blanc laiteux qui remuaient en cadence et dont je finis par m’emparer, des deux mains, pour les pétrir et en pincer les mamelons rosés.
Nos ébats étaient moins mouvementés qu’au début, plus posés, plus méthodiques. Une seule chose n’avait pas changé : notre silence. Je n’avais pas coutume de balancer des grivoiseries pendant le plaisir charnel et, apparemment, Zoé non plus. Elle s’abstenait de gémir, mais je n’étais pas sûr que ce fût son habitude, car elle se mordillait les lèvres ou soufflait de temps à autre. Peut-être s’imposait-elle tout bonnement de la retenue pour éviter de rameuter tout l’hôtel et d’attirer l’attention des patrons avec des frasques qu’ils n’apprécieraient sans doute pas.
Pendant que la jolie blonde me chevauchait, je cogitais à toute vitesse, n’arrivant pas à décider si je pouvais lui faire confiance. Une réponse affirmative avait ma faveur, mais comment chasser mes doutes ? Si Zoé était vraiment « de leur côté » et qu’elle avait, aussi sûrement qu’elle le prétendait, repéré en moi un dangereux fouineur, il était vraisemblable qu’elle en avait averti ses complices ; auquel cas j’étais déjà grillé.
Mais nantie de cette certitude, pourquoi Zoé m’aurait-elle annoncé la couleur, plutôt que de rester dans l’ombre pour marquer les points sans que je me rende compte de rien ? Pour ...
... découvrir quelque chose ? Savoir où j’en étais ? Non, ça ne tenait pas debout. Et comme de toute façon j’ignorais tout, qu’avais-je à perdre ? Au contraire : en lui avouant les raisons de ma présence, je risquais d’en apprendre davantage en retour.
Je cessai de me tourmenter à ce sujet, parce que le plaisir s’annonçait. Zoé dut le pressentir car elle sourit et ralentit ses mouvements puis, se soulevant, elle laissa mon sexe s’échapper du sien pour le récupérer de la main. Courbée ensuite entre mes jambes, elle me branla et me lécha en me jetant des regards gourmands qui eurent raison de mes velléités de résistance. Je m’épanchai, avec des frissons qui me parcoururent tout le corps, dans sa bouche qui s’était doucement refermée autour de mon gland tandis qu’elle accompagnait ma jouissance par des caresses des mains sur ma hampe. Ses lèvres s’entrouvrirent, laissant couler le sperme le long de ses doigts jusque sur mon ventre, et elle attendit les derniers spasmes et les premiers signes d’amollissement de ma virilité pour abandonner la position et s’allonger près de moi.
Nous n’avions pas prononcé une parole depuis que je l’avais invitée à utiliser sa langue pour autre chose que du bavardage. M’avait-elle pris au mot ? Elle me regardait silencieusement, souriante et apparemment assez contente d’elle. Si son objectif en s’introduisant dans ma chambre était de me faire jouir, elle y avait parfaitement réussi ! Je n’étais pas sûr, par contre, que son plaisir avait été à la ...