1. Corps-à-corps dans le Vercors


    Datte: 11/10/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, jalousie, Oral pénétratio, Humour policier, aventure, Auteur: Ludwig Mrza, Source: Revebebe

    ... Vous vous introduisez toujours dans les chambres sans qu’on vous y invite ?
    
    Elle était assise sur le lit, un sourire candide sur le visage, mais ses yeux n’avaient pas manqué de me détailler de la tête aux pieds. J’étais dans le plus simple appareil, les cheveux encore humides de la douche que je venais de m’offrir. Les fringues que j’avais quittées étaient entassées sur la chaise où je les avais jetées et les autres restaient enfermées dans mon sac que je n’avais pas ouvert.
    
    — C’est vrai qu’étant de la police, vous ne devez pas avoir peur des voleurs, ironisa Zoé, sans quoi vous auriez pris soin de fermer à clé.
    — J’ai rien à voir avec les flics ! grognai-je en cherchant des yeux de quoi me vêtir sans recourir aux fringues souillées ni me baisser dans cette tenue pour fouiner dans mon sac de voyage.
    — Bah ! Restez donc comme ça. De toute façon, c’est trop tard : j’ai tout vu.
    
    Elle ne manquait pas de culot ! Moi qui l’imaginais fâchée ou vexée, j’en étais pour mes frais ! Elle continuait à me regarder, mais son sourire s’était franchement élargi.
    
    — Et puis, je suis certaine que vous dormez à poil, ajouta-t-elle en se levant et en se collant à moi.
    
    Avait-elle décidé de me rejoindre pour tenter de me tirer les vers du nez ? Tandis que sa bouche s’écrasait sur la mienne et que sa langue entrait en action, ses mains n’étaient pas en reste, assurant une bonne prise sur mes fesses.
    
    Notre étreinte dura quelques secondes, puis Zoé s’écarta, le souffle court, et ...
    ... apprécia la rapide transformation qui venait de s’opérer dans mon anatomie.
    
    — C’est prometteur ! sourit-elle au moment où je la repoussais vers le lit.
    
    Elle tenta de résister.
    
    — Si tu me laissais me laver un peu d’abord ? Je pue. Je finis juste mon boulot…
    — Qu’importe ! répliquai-je en l’emmenant à l’horizontale.
    — T’es comme Napoléon, toi ! « Te lave pas, j’arrive ! »
    — Voilà, approuvai-je en plongeant les pattes sous ses vêtements. Et j’ai l’esprit de conquête. Surtout quand les terres sont d’une telle qualité.
    
    Zoé gloussa en m’aidant à la déshabiller. Elle était vraiment bandante à souhait ! Un corps chaud et aux courbes généreuses, avec cette peau claire qu’ont généralement les blondes à tendance rousse. Je promenai les doigts sur sa poitrine et son ventre, jusqu’à la toison au teint d’or cuivré. Mes lèvres emprisonnèrent un mamelon rose érigé sur un sein à l’aspect laiteux et au goût que j’imaginais pareil, mais qui était rendu quelque peu salé par la sudation.
    
    — Tu me jures que t’es pas de la police ? insista-t-elle. Je voudrais pas baiser avec un flic.
    — F’est une idée ficfe, fez toi !
    — Je voudrais pas, non. Ça me rappelle trop la famille : mon père et mon frère sont du métier.
    
    J’interrompis un instant mes caresses et succions pour la regarder attentivement et décider si oui ou non elle avait choisi de se payer ma fiole.
    
    — Je suis sérieuse, tu sais ! C’est dire si je suis habituée d’en voir, des poulets. Alors, toi…
    — Quoi, moi ? fis-je tout ...
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