1. Une soirée décisive


    Datte: 11/10/2018, Catégories: hh, prost, parking, boitenuit, Collègues / Travail voiture, hféminisé, Transexuels Oral préservati, hdanus, init, Auteur: Alyssa, Source: Revebebe

    ... aux tapineuses de rue car la boule de plaisir au bas du ventre était encore vivace ; elle clamait qu’elle en voulait encore. Je sortis cependant mon baladeur pour écouterBecause the night de Patti Smith car j’avais besoin d’entendre la voix rauque et sensuelle de la chanteuse des années 70, et surtout les paroles sublimes de cette chanson qui collent parfaitement à la tapineuse que je suis devenue :
    
    Because the night belongs to lovers, because the night belongs to lust, because the night belongs to lovers, because the night belongs to us (parce que la nuit appartient aux amants, parce que la nuit appartient à la luxure, parce que la nuit appartient aux amants, parce que la nuit nous appartient). À peine la chanson se termina-t-elle qu’une voiture s’arrêta à nouveau à ma hauteur.
    
    — C’est toi la petite pute que Louis a baisée ce soir ?
    — Oui. Je suis transsexuelle, tu es intéressé ? répondis-je.
    — Tu prends combien pour une fellation naturelle, sans préservatif ?
    — 30 € avec et 50 € sans, mon chéri.
    — OK ! Monte, dit-il en se penchant pour m’ouvrir la portière côté passager.
    
    Un peu plus tard, nous étions assis sur la banquette arrière de sa voiture garée sur l’un des parkings qui est la nuit le théâtre des passes réalisées par les putes transsexuelles du quartier. Je demandai au client en utilisant la phrase rituelle des prostituées :
    
    — Tu me donnes le petit cadeau, chéri ?
    — Il paraît que les transsexuelles sont expertes en fellation ; j’espère que je ne serai ...
    ... pas déçu ! dit-il en me tendant un billet de 50 €.
    — Pour bien sucer, il faut adorer le faire ! Rares sont les transsexuelles qui n’aiment pas ! Le sexe masculin m’excite beaucoup, c’est mon petit secret ! répondis-je en rangeant les 50 € dans mon sac.
    
    L’homme d’environ 35 ans était un blond aux cheveux très courts habillé d’un débardeur dévoilant des bras très musclé et couvrant à peine un abdomen proéminent de buveur de bière. Il s’allongea sur la banquette, les jambes repliées. Je déboutonnai sa braguette et retirai successivement son pantalon et son caleçon. Je m’agenouillai entre ses jambes et, à dix centimètres de mon visage, la bête était là, encore au repos.
    
    Mes atouts physiques, pourtant bien mis en valeur, n’ont même pas entraîné un début d’érection ; j’étais un peu vexée. Son pénis était tout flasque, fripé, il reposait assez lamentablement sur ses testicules. Un défi à relever pour la pute que je voulais devenir. Je pris sa verge délicatement, l’entourant de ma petite main aux ongles longs et rouges et commençai à la masturber. Lorsque je sentis qu’elle commençait à grossir légèrement dans ma main, je pris une grande goulée d’air, j’ouvris le plus grand possible mes mâchoires et j’enfournai sa bite et ses couilles intégralement.
    
    Je me retrouvai le nez planté dans son pubis, les poils venant chatouiller mes narines. L’odeur était musquée et excitante. La bouche remplie, je m’efforçai de respirer par le nez et j’attendis. La chaleur de la cavité produisit ...