1. Une soirée décisive


    Datte: 11/10/2018, Catégories: hh, prost, parking, boitenuit, Collègues / Travail voiture, hféminisé, Transexuels Oral préservati, hdanus, init, Auteur: Alyssa, Source: Revebebe

    ... peu qui s’écoula par la commissure des lèvres. Je parvins à en déglutir la plus grande partie à petites gorgées. C’était bon, sucré, crémeux. Je pompai puissamment pour recueillir les dernières gouttes. C’était terminé : je pus libérer sa bite. Je me redressai et le fixai droit dans les yeux, un filet de sperme pendant à mon menton.
    
    — Bon sang, quelle petite salope vicieuse… Tu m’as vidé les couilles ! Une suceuse aussi insatiable et gourmande que toi, je n’imaginais pas que cela pouvait exister, s’exclama mon deuxième client de la soirée.
    
    Je rejoignis mon client à l’avant de la voiture et il redémarra rapidement pour me ramener à mon abribus. Je profitai du miroir de courtoisie côté passager pour m’apprêter et me remaquiller pour la fin de la nuit. J’essayai sans succès d’engager une conversation avec lui. L’indifférence assez flagrante de cet homme à mon égard avant et après la fellation alors qu’il ne me paraissait pourtant pas vraiment timide m’interrogeait.
    
    Je supposai qu’il n’exprimait ni sentiments, ni empathie, ni désir ...
    ... envers moi. Il ne m’a d’ailleurs même pas touchée, à l’inverse de Louis, mon premier client dont les mains et les lèvres étaient avides de contacts charnels. Il était venu pour obtenir une simple fellation contre une rémunération, et ce fut un échange commercial qui devait, pour lui, se limiter strictement à la prestation négociée.
    
    Les paroles de Rudy, plus tôt dans la soirée, à ce propos me revinrent. J’ai été réduite au rôle de pompeuse ; une simple machine aurait peut-être pu le faire. J’étais cependant assez contente de ma petite compétence de suceuse qui m’a valu tout de même un petit compliment à la fin. J’étais confrontée, dès ma première nuit, aux réalités du job de pute mais je découvrais aussi que l’envie très vivace au fond de moi de tapiner l’emportait largement.
    
    Nous passâmes devant l’abribus de Lana, désert à cet instant ; je frissonnai en l’imaginant baisée fiévreusement par un client. De nouveau à mon poste, je réalisai que le fait d’être payée participait à mon plaisir et à mon envie. J’étais intrinsèquement une pute ! 
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