1. Le cul de Lucienne


    Datte: 09/10/2018, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, jeunes, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme massage, Oral pénétratio, fsodo, jeu, yeuxbandés, fouetfesse, init, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... s’écrasaient contre mon ventre. J’ai fini par exploser dans son cul et nous nous sommes écroulés en sueur, affalés l’un sur l’autre dans le divan. Elle a tourné son visage vers le mien et nos bouches se sont dévorées avec passion, pendant que ma bite continuait à s’agiter nerveusement tout au fond de son petit trou.
    
    — Alors ? Ne vous l’avais-je pas dit ? Les culs ne mentent pas, et je peux dire que le vôtre est d’une honnêteté absolue. J’ai rarement connu un cul aussi enthousiaste et aussi reconnaissant du plaisir qu’on lui donne.
    — C’est bon, vous avez gagné. Dorénavant je n’obéirai plus qu’à mon cul, et pour l’instant, il me dit qu’il est temps d’aller à ce vernissage. Mais avant, il aimerait bien que vous retiriez votre engin fatigué pour que je puisse me rhabiller.
    
    Je l’ai libérée et ma queue a provoqué un petit bruit de pet en s’extrayant de son anus. Nous avons éclaté de rire tandis qu’elle remontait sa large culotte sur son cul rougeoyant.
    
    — Si vous écoutiez votre joli cul ensoleillé, je crois que vous l’entendriez vous dire qu’il préfère sentir l’air frais du soir venir apaiser le feu qui lui brûle les fesses.
    
    Elle s’est contentée de sourire en se débarrassant de sa culotte avant d’enfiler sa robe sur ses fesses dénudées.
    
    — Faites voir. C’est bien mieux comme ça. Votre culotte est superbe mais elle dessinait d’horribles balafres sur vos adorables rondeurs. À présent, elles apparaissent dans toute leur splendeur, délicieusement moulées dans leur ...
    ... fourreau de satin.
    
    Nous nous sommes rendus à pied à la galerie et, fidèle à mes habitudes, j’ai marché quelques pas derrière elle, suivant mon étoile du berger et son balancement hypnotique. Je dois dire que je n’étais pas le seul à m’aveugler des admirables rondeurs moulées dans l’écrin brillant. Les hommes autant que les femmes se retournaient sur son passage, tout en jetant un regard curieux dans ma direction, se demandant sans doute pourquoi je ne marchais pas aux côtés de ma partenaire.
    
    La galerie était pleine d’une foule de bobos, intellectuels de gauche, entre quarante et soixante ans pour les messieurs, probablement dix à vingt ans de moins pour les dames et, si je n’avais pas été au bras de Suzon, je me serais sans doute immédiatement lancé à la chasse de l’un ou l’autre de ces culs élégants qui s’agitaient sous mes yeux devant les œuvres de l’artiste.
    
    — Je vous préviens que si je vous vois regarder d’autres derrières que le mien, je compte bien moi aussi avoir une petite conversation avec votre cul dont il risque de se souvenir.
    — Allons ma chère, si je regarde ces culs si délicieusement offerts, ce n’est que pour le plaisir de me dire que le plus beau s’accroche à mon bras.
    — J’aime mieux ça ! Venez, je vais vous présenter à Karin.
    
    Karin était l’artiste, l’amie de Suzon. Jusqu’à ce moment, je n’avais, pas vraiment prêté attention aux œuvres accrochées aux cimaises de la galerie. Mais en traversant la foule, regardant au-dessus des épaules, et quelques fois ...
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