Le cul de Lucienne - Histoires de Sexe

Le cul de Lucienne

... c’est cela ?
— Disons que je me débrouille plutôt pas mal, en tout cas, aucune de mes… patientes ne s’est jamais plainte.
— Un traitement pour les malades du cul, en quelque sorte. Très peu pour moi.
— C’est votre choix, en attendant pourquoi ne reprendriez-vous pas votre lecture ?
— …

Elle m’a regardée avec un air excédé, son admirable cul toujours dressé sous mon nez. Tandis que je la regardais avec mon sourire niais dessiné sur le visage, elle s’est brusquement redressée, laissant retomber sa robe sur ses fesses, avant de remonter nerveusement sa petite culotte et disparaître de mon appartement sous le prétexte d’un rendez-vous urgent.

J’aurais pu essayer de la retenir, de la convaincre, de m’excuser pour cette maladie honteuse, pour cette « culopathie » dont je ne parvenais pas à me libérer. Mais je suis resté prostré devant la fenêtre ouverte et le livre qu’elle venait d’y abandonner, mon sourire béat encore imprimé sur mes lèvres. Je savais qu’elle allait tôt ou tard succomber aux plaisirs brûlants de la fessée et, à cette simple idée, j’ai senti ma queue frétiller d’enthousiasme.

Le lendemain, elle m’a appelé.

— Je vais au vernissage d’une amie ce soir. J’aimerais vous y emmener, ça vous plaira j’en suis sûre. Qu’en dites-vous ?
— Pas avant que nous ayons réglé l’incident d’hier.
— J’avais un rendez-vous, je vous dis. Je l’avais oublié, voilà tout.
— Bien sûr. Vous vous rappelez quand j’ai découvert votre caractère en observant votre trou du cul. Je ...

... vous ai dit que ce joli opercule ne mentait jamais, et que les paroles des femmes étaient bien moins fiables. Eh bien, si en cet instant je pouvais étudier votre trou du cul, je suis sûr qu’il ne me raconterait pas la même histoire.
— Vous êtes vraiment incorrigible ! Allez, ne vous faites pas prier !
— Non. Je veux que ce soit votre cul qui me le demande !
— Mon cul ? Mais… mais… vous êtes vraiment fou à lier vous !
— …

Elle a raccroché brutalement et je n’ai pas pu m’empêcher de sourire, persuadé que j’allais entendre à nouveau la sonnerie du téléphone quelques minutes plus tard.

— Allô ?
— Si mon cul vous le demande, vous voudrez bien m’accompagner à ce vernissage ?
— Ça dépend de la manière dont il me le demande.
— Je passerai chez vous à six heures et vous n’aurez qu’à voir cela avec lui, ça vous va ?
— Passer plutôt à cinq heures, il se peut que votre cul et moi ayons à parler plus longtemps que de coutume.
— …
— Allô ?
— D’accord, je passerai à cinq heures.

Bingo ! Des fourmillements d’impatience me parcouraient les doigts et la queue à l’idée que j’allais bientôt prendre à nouveau possession de son admirable fessier. Ah, le cul de Suzon, plus beau cul qu’il m’ait été donné de connaître. Un cul que je redécouvrais et qui me surprenait à chaque fois.

Deux heures plus tard, elle était dans mon appartement, vêtue d’une robe en satin qui moulait effrontément ses sensuelles rondeurs, apparition troublante d’une pin-up des années soixante, une coiffure ...