1. Le cul de Lucienne


    Datte: 09/10/2018, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, jeunes, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme massage, Oral pénétratio, fsodo, jeu, yeuxbandés, fouetfesse, init, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    Après ma première rencontre avec Suzon, nous nous sommes revus à peu près deux fois par semaine, chez moi le plus souvent. Nos métiers respectifs nous laissaient de grandes plages de liberté dont nous profitions pendant que le commun des mortels transpirait sur sa fiche de calcul ou devant des clients impatients. Elle venait souvent dans l’après-midi et le rituel était immuable. Elle s’appuyait au rebord de la fenêtre donnant sur le parc, me faisant la lecture d’un livre « pour adulte » que j’avais choisi pour nous, pendant qu’assis à moins d’un mètre derrière elle, je contemplais l’éblouissante nudité de son enivrant fessier.
    
    Quelques fois une jupe ou une robe était remontée sur ses reins, la petite culotte descendue à mi cuisses, parfois son pantalon et sa culotte reposaient à ses chevilles, comme une petite fille s’apprêtant à soulager sa vessie. Je continuais à lui parler de mon amour, de mon adoration pour son cul magnifique, elle est continuait à mouiller rien qu’au son de ma voix.
    
    Dès notre deuxième rendez-vous, trois jours à peine après notre première rencontre, elle s’était débarrassée de son buisson de poils frisés pour m’offrir le cadeau de sa chatte nue comme au premier jour. Je ne m’étais pas trompé. Lorsqu’elle se tenait debout, les jambes à peine écartées, ses grosses lèvres s’entrouvraient à peine, ressemblant presque à une chatte d’enfant. Et lorsque je l’ai fait s’agenouiller sur le lit, comme à notre habitude, j’ai versé une larme émue en regardant ...
    ... ces deux admirables fruits fendus posés l’un sur l’autre. Le premier rayonnant, majestueux, et le second accroché juste en-dessous, comme une petite pêche pâle et mûre ne demandant qu’à être croquée.
    
    — Je peux vous le confirmer, votre con est tout aussi éblouissant que votre cul.
    — Alors prenez-les l’un et l’autre, et arrêtez de me faire aussi cruellement languir.
    
    C’était pourtant dans cette langueur contemplative que naissait notre désir et elle y goûtait autant, si pas plus, que moi. C’était un jeu et ne nous lassions pas d’y jouer. Je lui parlais de son cul, de son con, de son corps de déesse, de ses seins dont, disait-elle, je ne m’occupais pas assez. Puis je la prenais, toujours par derrière, comme un drogué du cul prenant sa dose.
    
    La fessée n’a pas tardé à faire partie de nos jeux. Il faut dire que nos lectures partagées évoquaient assez souvent l’étonnant pouvoir de la fessée. C’est ainsi qu’un jour, ce devait être à notre troisième ou quatrième rendez-vous, tandis qu’elle me lisait un chapitre de l’« Éloge de la fessée », je lui ai demandé ce qu’elle en pensait.
    
    — Je ne sais pas… je trouve ça plutôt humiliant…
    — Mais lorsque je vous claque les fesses tandis que ma bite visite votre chatte ou votre petit trou, qu’est-ce que vous ressentez ?
    — C’est assez excitant, je dois bien l’avouer, mais je ne suis pas sûre de vouloir en découvrir davantage.
    — Vous avez tort, la fessée est un art, lorsqu’elle est assenée par un spécialiste.
    — Et vous en êtes un, ...
«1234...21»