Le cul de Lucienne
Datte: 09/10/2018,
Catégories:
fhh,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
massage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
yeuxbandés,
fouetfesse,
init,
Auteur: Fantasio, Source: Revebebe
... glissant entre les fesses à la recherche de trésors qui m’étaient encore inconnus. Lorsqu’il a descendu l’élastique de la culotte jusque sous les deux globes charnus que je découvrais pour la première fois, j’ai senti soudain une chaleur humide envahir mon entrejambe tandis que ma petite queue juvénile crachait pour la première fois le jus de la jouissance.
— Merde alors !
— Quelque chose qui ne va pas Jacques ?
Elle s’était retournée brusquement repoussant René en faisant brusquement redescendre sa jupe sur ses fesses dénudées, et je me suis retourné presqu’aussi vite qu’elle.
— Ce… ce n’est rien, c’est juste… un exercice que je n’arrive pas à faire.
— Va donc aider le gamin au lieu de faire tes cochonneries !
— Très bien, mais ce n’est que partie remise, princesse.
En me lançant un nouveau clin d’œil, René est donc venu s’asseoir à mes côtés pour m’aider à résoudre ce fameux problème. Lorsque mes parents sont venus me chercher ce soir-là, j’ai dû déployer des trésors de discrétion pour leur cacher l’entrejambe de mon pantalon, maculée de ma première semence.
À partir de ce soir-là, René et moi sommes devenus complices, parfois quand nous étions seuls au salon, il racontait sa passion pour le cul de Lucienne, m’en décrivant tous les mystères, tous les trésors. Je suis devenu un spécialiste du cul de ma voisine, une spécialité toute théorique malheureusement, agrémentée de temps à autres par les regards furtifs que me concédait René lorsqu’il parvenait à ...
... me dévoiler les rondeurs affolantes de sa délicieuse épouse.
Il m’a même donné une photo de Lucienne en déshabillé vaporeux. Extraite d’une séance de « nu artistique » qu’elle avait accepté de réaliser pour lui faire plaisir.
— Il y en d’autres plus coquines. Je te les montrerai peut-être une autre fois. Pour l’instant, tu peux te faire suer le poireau avec celle-ci.
J’ai donc appris à faire suer le poireau, à faire pleurer popaul, à m’élaguer le bambou et autres gracieuseté que René m’apprenait d’un air professoral. Un jour que je regardais mon feuilleton préféré dans le salon, il est venu me chercher en me demandant de le suivre en silence. Le feuilleton venait de commencer et il savait parfaitement que je ne l’aurais raté pour rien au monde. Rien sauf, bien sûr, le cul de Lucienne !
Nous avons traversé le salon à pas de loup jusqu’à la cuisine. Comme souvent, Lucienne était affairée devant la vaisselle du soir. Elle nous tournait le dos, vêtue d’une petite robe d’été, serrée à la taille. Nous l’avons regardée durant quelques secondes, comme fascinés par ce magnifique postérieur qui s’agitait quelques mètres devant nous, puis René m’a demandé de me tenir discrètement dans le couloir.
— Tu ne vas pas regretter ton feuilleton, crois-moi.
Il s’est avancé vers son épouse pour l’enlacer comme à son habitude, son corps collé contre le sien, la couvrant de baisers, laissant courir ses mains librement sur son corps.
— Ça y est, tu as encore un coup de chaleur, ...