1. Le cul de Lucienne


    Datte: 09/10/2018, Catégories: fhh, hplusag, fplusag, jeunes, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme massage, Oral pénétratio, fsodo, jeu, yeuxbandés, fouetfesse, init, Auteur: Fantasio, Source: Revebebe

    ... martyrisait tous les jours. Mais, en entendant le rire éclatant de la jeune femme et en observant les tendres étreintes amoureuses qui suivaient cette salutation brutale, j’ai compris que le cul devait receler des mystères que je rêvais de découvrir chaque jour davantage.
    
    Je crois que je dois ma fessophilie autant à René qu’à Lucienne. Si la seconde m’a apporté la matière, le premier m’a appris la passion. Car s’il claquait le cul de sa femme tous les soirs, c’est parce qu’il l’adorait encore plus que moi. Chaque fois qu’il en avait l’occasion, il le caressait, glissant discrètement sa main sous ses jupes lorsqu’il me pensait concentré sur mes exercices de math.
    
    Un soir, je devais avoir dix-sept ans, et le cul de Lucienne, ou du moins ses fesses toujours enveloppées dans de larges culottes, n’avait presque plus de secrets pour moi. Comme souvent, je m’étais retourné discrètement pour les regarder du coin de l’œil. René se tenait debout derrière Lucienne les mains plongées dans la vaisselle, lui glissant des baisers dans le cou, tout en laissant courir ses mains sur ses cuisses dénudées. J’étais habitué à leurs étreintes, et si, au début, j’étais plutôt jaloux, je me suis très vite pris pour René, comme s’il était mon émissaire, partant vers des territoires qu’il découvrait pour moi. Lucienne, ne le laissait jamais aller bien loin, sous l’excuse du « gamin » attablé devant ses cahiers. Mais ce jour-là, elle était sans doute plus fatiguée que d’habitude, elle avait ...
    ... besoin de la chaleur de son mari et elle semblait heureuse de s’abandonner à ses caresses.
    
    Les mains de René sont remontées doucement, tendrement, délicatement le long des cuisses jusqu’à s’aventurer sous la jupe avec d’infinies précautions, remontant peu à peu avec elles le tissu à volant jusqu’à se poser sur les fesses. Je l’ai entendue murmurer « le gamin… » à l’oreille de René qui s’est retourné vers moi, les mains posées sur le généreux derrière de son épouse. Je n’ai pas pu détourner le regard, hypnotisé que j’étais par l’exhibition de la culotte de Lucienne, une large culotte blanche comme à son habitude, emprisonnée dans les serres de mon alter ego. Je devais sourire béatement, comme d’habitude et René m’a lancé un clin d’œil complice.
    
    — Ne t’inquiète pas, il est plongé dans son cahier de maths.
    — Mais s’il se retournait ?
    — Chuut… il ne se retournera pas, si tu ne fais pas de bruit.
    
    Les mains de René se sont glissées sous la culotte, et Lucienne n’a pas pu retenir un petit « Oh ! » de surprise qu’elle a aussitôt étouffé, de crainte d’attirer mon attention. Je ne sais pas si elle se doutait ou non que mon attention fût depuis longtemps déjà passionnément attirée par son impressionnant fessier. Toujours est-il qu’elle n’a plus réagi, se contentant de s’appuyer sur ses mains plongées dans l’eau de la vaisselle, tandis que celles de son mari se promenaient sur la peau brûlante de ses fesses.
    
    Je regardai l’ombre de ses mains passant sous le fin tissu de coton, se ...
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