1. De l'importance des langoustines du Guilvinec


    Datte: 08/10/2018, Catégories: f, fh, 2couples, hagé, fagée, frousses, rousseurs, extracon, inconnu, copains, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, campagne, vengeance, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, échange, uro, Humour hum, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... dans notre village de la France profonde, m’avait déjà expliqué que cette pratique était un moyen infaillible et gratuit de contraception. Elle ajouta aussi que, quand c’était utilisé avec délicatesse, la femme pouvait en tirer quelque plaisir, différent mais, agréable. Quand j’ai été enceinte et que j’ai compris que Robert avait une peur bleue de perturber la croissance du fœtus, je le lui ai proposé et on a continué, vu que tout le monde y trouvait son compte… On y va ?
    
    Marie commanda la manœuvre. Elle me fit asseoir sur une chaise, se positionna debout au-dessus de mon phallus, une jambe de chaque côté de mes cuisses. Elle redonna de la vigueur à mon membre et le guida vers la minuscule entrée de service. Par quelques mouvements du bassin, je m’introduisis de quelques centimètres avant d’être bloqué par un rétrécissement. Marie, en experte de la chose, serra les dents et força elle-même le passage délicat. Sa grimace ne dura que trois ou quatre secondes, car elle ferma les yeux et, le visage apaisé, elle commença à me chevaucher, alternant les va-et-vient rapides et les pauses où ses hanches ondulaient autour de ma queue.
    
    Elle me demanda si ça me plaisait, mais elle n’attendit pas ma réponse. Subitement, sa main droite descendit sur son minou qu’elle se mit à masturber frénétiquement, elle ferma les yeux et imprima une cadence d’enfer à ses allers-retours. Marie venait de se prendre un petit plaisir, simplement, sans simuler l’orgasme ni émettre de cri de ...
    ... volupté.
    
    — Cela fait du bien et ça soulage, mais il ne perd rien pour attendre ton copain… Si tu veux jouir, c’est le moment, on n’a pas la journée !
    
    Robert échappa provisoirement au règlement de compte mijoté par son épouse, car il se pointa en même temps que les pêcheurs alsaciens. Ils revenaient de leur sortie au grand air, euphoriques, avec deux sachets de ces grosses langoustines réservées aux restaurants, que le patron de pêche leur avait vendus. Du coup Marie leur apprit à les cuire et je préparai une mayonnaise géante pour un repas d’adieu en commun. Comme le mari de Julia semblait en grande forme, je lui fis remarquer que les embruns bretons semblaient être une excellente thérapie pour ses problèmes de prostate. Il me regarda étrangement et me dit :
    
    — Je n’ai jamais eu le moindre problème avec ma prostate, Dieu merci !… C’est curieux que vous ayez eu cette drôle d’idée, car la veille de notre départ, le patron du bar-tabac m’a demandé si je me remettais bien de mon opération…
    
    Le lendemain matin, mes copains se levèrent en même temps pour changer les draps de la literie et mettre tout en ordre pour les nouveaux locataires. Marie était joviale, Robert dans ses tous petits souliers, il avait dû prendre un drôle de savon, le pauvre. Les Normands arrivèrent en fin de journée, chargés à l’extrême, avec un coffre supplémentaire sur le break Mercedes. Le mari, la femme enceinte, une petite fille de trois ans et, en prime, la mère de la future maman, volubile et ...