De l'importance des langoustines du Guilvinec
Datte: 08/10/2018,
Catégories:
f,
fh,
2couples,
hagé,
fagée,
frousses,
rousseurs,
extracon,
inconnu,
copains,
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poilu(e)s,
vacances,
campagne,
vengeance,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
échange,
uro,
Humour
hum,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... secondes pour prendre ta décision. Je me ferai une joie d’annoncer à mon cher époux qu’il est cocu lui aussi, mais bien entendu tu resteras dans l’anonymat. Je compte. Un… deux…
Je suis certain, connaissant la détermination de la Bretonne, qu’elle aurait mis ses menaces à exécution. Dans d’autres circonstances, j’aurais été ravi de m’envoyer en l’air avec ma copine, dont je trouvais le gros cul parfaitement à mon goût, mais là… Non seulement je ne me sentais pas du tout à mon aise, mais en plus, vu la débauche de la veille, je n’étais pas persuadé d’assurer une prestation correcte.
Dans leur chambre à coucher située à l’étage, Marie me demanda de l’aider à dégrafer son soutien-gorge. Seulement vêtue de sa petite culotte en coton fleuri, sans aucun état d’âme, Marie me dit qu’il était encore temps que je change d’avis. Elle resta dans la salle de bain un bon moment avant de regagner la chambre où je l’attendais, allongé sur le lit, nu et un peu inquiet. Elle monta sur le lit, me fit face, debout, noyant ses doigts dans sa luxuriante toison rousse.
— Je vais d’abord tordre le cou à une légende stupide et désobligeante à notre égard. NON, les rousses n’ont pas d’odeur particulière.
Une jambe de chaque côté de mon corps, elle s’avança à hauteur de mon visage et elle s’accroupit, en ouvrant complètement les cuisses. Son minou s’anima, collé sur ma bouche, tandis que la touffe de poils me chatouillait les narines. Agrippé à ses fesses aux rondeurs parfaites, je me ...
... goinfrais de sa chatte dodue, je léchais sans retenue son trou du cul, légèrement parfumé de jasmin. Marie trouva que les préliminaires étaient prometteurs et m’invita à la caresser partout. Apparemment satisfaite de ma prestation, elle sortit du lit pour s’agenouiller sur le parquet et avaler mon pénis, en légère érection. J’étais un peu angoissé mais Marie fit des prouesses. Sa bouche pulpeuse engloutissait ma queue et la libérait, à un rythme soutenu. À un moment, je sentis un doigt agile pénétrer dans mon anus et le visiter quelques secondes. On se mit d’accord sur une petite pénétration en levrette. Le buste posé sur le lit, les jambes arquées bien calées sur le parquet, Marie, la croupe tournée vers le plafond, subissait mes assauts avec grand plaisir. Je venais d’accélérer la cadence pour permettre à quelques milliers de spermatozoïdes de prendre l’air, quand Marie se dégagea soudainement de mon emprise.
— Tu plaisantes, j’espère ! Tu ne vas pas déjà jouir ! Tu ne crois pas que je me suis fait un lavement pour des prunes ! Quel manque de savoir-vivre !
Bien que, à cinquante-quatre ans, plus rien ne m’étonnât, elle me mit quand même sur le cul… Cette Marie-là, je ne la connaissais pas du tout. Elle avait sorti d’un tiroir un petit bocal et, avec un doigt, elle se lubrifiait le trou du cul avec de la pommade. Devant mon air incrédule et perplexe, Marie rigola de mon côté petit-bourgeois et dissipa mes interrogations muettes :
— Avant que je ne sois mariée, ma mère, ...