De l'importance des langoustines du Guilvinec
Datte: 08/10/2018,
Catégories:
f,
fh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
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fdanus,
fsodo,
hdanus,
échange,
uro,
Humour
hum,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... virevoltante.
J’abandonnai lâchement mon copain à son triste sort, car l’ambiance était par trop électrique. Le temps était splendide, un petit tour à vélo au bord de la côte me ferait le plus grand bien. De retour à Sain-Gué, à cent mètres du portique d’entrée, j’aperçus la fille des nouveaux locataires qui se baladait, seule sur le trottoir, indifférente à la circulation automobile dense des vacanciers qui arrivaient. Je rentrai dans la propriété avec la petite fugueuse. La voiture de ses parents n’était pas présente mais la mamie oui. Le seul problème c’est qu’elle s’était assoupie sur un bain de soleil et qu’elle ronflait paisiblement, à côté d’une table en plastique sur laquelle un livre de coloriage était ouvert.
Avant de la réveiller pour l’informer que sa petite-fille avait manifestement échappée à sa surveillance, je m’autorisai un coup d’œil sur le tableau champêtre qui s’offrait à moi. Une jambe allongée sur le bain de soleil et l’autre repliée à angle droit, la jupe remontée à hauteur des cuisses, la brave dame découvrait complètement son jardin secret. Curieusement, elle portait des bas couleur chair sur ses jambes fluettes, mais le plus surprenant, c’était sa petite culotte. Je la trouvais bien coquine, pour une mamie qui devait friser les soixante-cinq ans. La lingerie était rouge fuchsia, mélangeant des zones transparentes et des broderies florales en relief. La culotte était si échancrée que quelques poils gris clair, se trouvant trop à l’étroit, ...
... s’étaient échappés du textile ajouré.
La brave dame demeura pétrifiée et livide de longues minutes avant de fondre en larmes et d’étreindre sa petite fille adorée. Elle plaidait coupable et imaginait ce qui aurait pu arriver à cause de sa criminelle irresponsabilité. Pour moi, l’incident était clos et je lui jurai de n’en parler à personne.
Le soir même, pour me remercier, elle vint m’offrir une bouteille de Chivas. Comme elle portait une superbe chemise de nuit en satin blanc, je condescendis à l’inviter à entrer dans ma chambre, histoire de faire plus ample connaissance. Bien sûr, c’était une dame plus que mûre, certainement veuve, mais j’avais toujours eu le cœur sur la main. La citation d’un écrivain me revint à l’esprit :« Il est divin de faire l’amour avec une dame âgée, car sa fougue et sa sensualité sans limite donnent l’impression qu’elle le fait pour la dernière fois… ».
Mort de honte, humilié, je refermai la porte après un refus poli mais glacé de la grand-mère normande.
Marie n’avait plus sollicité mes services, elle prenait un plaisir sadique à persécuter son mari, c’était pénible et répétitif. J’écourtai donc mon séjour et je me mis au lit tôt, pour reprendre la route en pleine forme le lendemain matin. Vers vingt-trois heures, je fus réveillé par la fin d’une conversation étrange, à mots couverts :
— C’est très sympa, Germaine, de nous payer les vacances. Tu sais que j’ai très envie de mettre ma queue dans ton petit trou du cul, grosse cochonne…
— Pas ...