De l'importance des langoustines du Guilvinec
Datte: 08/10/2018,
Catégories:
f,
fh,
2couples,
hagé,
fagée,
frousses,
rousseurs,
extracon,
inconnu,
copains,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
vacances,
campagne,
vengeance,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
échange,
uro,
Humour
hum,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... copains ?
Monique avait adopté une position plus confortable que sa copine ; à quatre pattes dans la longueur du canapé, la tête au-dessus de l’accoudoir, elle attendait mon obole. C’était ma foi très agréable aussi de se faire sucer en s’accrochant à une paire de nichons faramineux. Par curiosité, je me permis, en m’inclinant légèrement, de lui enfoncer mon index dans le trou du cul. Non seulement il n’y eut aucune protestation, mais Monique m’invita à aller au plus profond des choses, et en adoptant une cadence plus rapide. Après cet essai comparatif imprévu, Julia me récupéra manu militari en me traînant par la main. Elle s’installa confortablement dans un fauteuil en cuir, écarta les jambes et posa ses cuisses sur les accoudoirs, attendant fébrilement la phase finale. Ce qui me surprit le plus, mais seulement de retour dans ma chambre, c’est que Monique nous trouva comme par hasard une boîte entamée de préservatifs dans son sac à main !
Le réveil du lendemain fut pénible. Je me rendis compte que j’avais dormi à poil, sans même avoir eu suffisamment de lucidité pour enlever mon préservatif… Je pris le café avec Robert, pas beaucoup plus frais que moi. Il devait démonter l’installation du Fest Noz avec ses copains, un barbecue était prévu, et il m’annonça son retour vers seize heures. Pour m’occuper, je décidai d’installer sur le mur de granit les deux spots dont Marie réclamait la mise en service depuis belle lurette.
Il approchait midi quand son pot de yaourt ...
... jaune citron se gara en vomissant un flot de fumée noire. Marie, toute guillerette, me remercia de mon initiative et entra avec quelques courses dans la cuisine. Un cri effrayant, venant de la cuisine, troua le silence. Je sautai de l’escabeau et bondis dans la pièce. Marie, blanche comme un linge, se tenait à côté de la poubelle ouverte. Le bras droit en extension, le visage grimaçant, entre le pouce et l’index elle tenait un préservatif usagé, gras, ratatiné et collé à une feuille de laitue.
— Tu peux m’expliquer ? C’est cette grosse pute de trésorière de l’Amicale qui a profité de mon absence pour ouvrir ses cuisses à ma grande andouille de mari ?
S’ensuivit un torrent de qualificatifs peu flatteurs pour Robert et un étalage des états d’âme de la Bigoudène, qui oscillaient entre l’humiliation ressentie, la vengeance inexorable et sanglante, le divorce sans concession… etc. J’essayai bien de disculper mon copain en prenant le préservatif à ma charge, mais Marie ne me crut pas une seule seconde. Elle était au bord de la crise de nerfs. Reprenant quand même en partie son calme, les yeux injectés de sang, elle me tint un discours surréaliste :
— J’avais prévenu ton copain que j’étais très rancunière et que s’il s’avisait de me tromper, le retour du bâton serait immédiat. Alors, de deux choses l’une : ou bien je me rends de ce pas au Bar de la Marine du Guilvinec pour débaucher un ou deux marins dans une chambre d’hôtel, ou bien tu baises avec moi tout de suite…Tu as cinq ...