1. De l'importance des langoustines du Guilvinec


    Datte: 08/10/2018, Catégories: f, fh, 2couples, hagé, fagée, frousses, rousseurs, extracon, inconnu, copains, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, campagne, vengeance, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, échange, uro, Humour hum, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... dernier, il y avait un stage d’initiation gratuite dans le village de vacances.
    
    J’allumai le feu de bois préparé dans la cheminée centenaire de l’immense salon de Robert qui, lui, cherchait une cassette de musique berbère traditionnelle. Monique avait disparu pour s’entraîner seule dans la cuisine, avant sa représentation. Curieusement, elle avait emprunté le foulard de Julia et une large ceinture dorée que Marie avait laissée, accrochée au portemanteau. Assis tous les trois sur le divan, le salon seulement éclairé par les flammes et un spot halogène, on attendait la star. Enfin, de la cuisine, Monique invita Robert à lancer la musique. Quand elle progressa lentement, en dansant, pour se placer devant les lueurs vacillantes de la cheminée, il n’y eut aucun applaudissement ; on était subjugués, abasourdis, vraiment sur le cul.
    
    Monique évoluait pieds nus, le nez et la bouche recouverts du foulard noué derrière la nuque. Sous son ventre bien rond, la ceinture dorée flottait autour de ses hanches larges. Une culotte vert amande, opaque sur le devant, dévoilait ses fesses volumineuses, à travers un maillage totalement transparent du côté face. Le clou de cette apparition divine, c’était que Monique n’avait pas trouvé nécessaire de garder son soutien-gorge… Ses énormes nichons, bien qu’un tantinet affaissés, suivaient le rythme de la danse langoureuse et suave. La coquine poussa même la provocation jusqu’à venir danser à un mètre de notre divan, en inclinant le buste pour ...
    ... que le mouvement de ses mamelles prenne plus d’amplitude. WAOUHHH !!!!
    
    Rien de surprenant dans le fait que, dans les minutes qui suivirent, les trois spectateurs admiratifs mais fins saouls, se retrouvèrent à essayer la chorégraphie orientale, au milieu de la piste, complètement à poil. Une espèce de parade nuptiale animalière prit forme spontanément, s’emparant indistinctement des mâles et des femelles. Les pénis se réfugiaient entre les fesses de ces dames et s’y frottaient, des grosses mains poilues s’emparaient des seins, des petites mains agiles s’emparaient des phallus, des doigts visitaient des fentes moites ou des croupes béantes. Finalement, les femelles prirent l’initiative du choix du partenaire. Julia avait escaladé la longue table en bois de la salle à manger et s’était allongée sur le dos, les mains agrippées aux rebords et la tête dans le vide. Debout, au-dessus de son visage, jambes écartées, je savourais ses coups de langue espiègles sur l’intégralité de mon appareil génital. Elle rechigna un peu quand je lui fis faire un peu de gymnastique. J’avais empoigné son arrière-train pour qu’elle effectue une chandelle arrière et que ses cuisses béantes soient à portée de ma bouche. Rien n’allait mal pour nous deux ; ma queue faisait des mouillettes dans sa bouche pendant que je m’occupais de lui lécher frénétiquement le minou et le trou du cul. On était en pleine besogne quand on entendit de concert Monique et Robert s’écrier en rigolant :
    
    — On change, les ...
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