1. De l'importance des langoustines du Guilvinec


    Datte: 08/10/2018, Catégories: f, fh, 2couples, hagé, fagée, frousses, rousseurs, extracon, inconnu, copains, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, campagne, vengeance, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, échange, uro, Humour hum, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... d’humeur d’un époux dépressif ! Mais peut-être que vous avez une solution !
    
    Marie avait été rappelée d’urgence chez sa fille pour servir d’infirmière, car une gastro avait d’abord décimé les enfants avant de fondre sur les parents. Robert nous avait réservé une table loin des odeurs de frites de l’enceinte du Fest Noz. Visiblement, lui et ses copains bretons n’avaient pas bu que de l’eau dans l’après-midi, pour installer le barnum festif. Entre le quartier de quiche, les moules-frites et la crêpe sucrée, les danseuses du cercle de Pen’march vinrent nous débaucher pour nous initier, nous et d’autres touristes, à la gavotte, au pas de sept et autre scottish… Super sympas, les Bigoudènes.
    
    Le mari de Monique, en sueur, ramena une seconde tournée de crêpes, et celui de Julia deux bouteilles de cidre fermier. Si je comptais bien, on avait donc éclusé, sans Robert, trois bouteilles de Muscadet et autant de cidre ! Les dames commençaient à avoir une élocution difficile et les hommes avaient chaud aux oreilles ; en vacances, on avait bien le droit à quelques dérogations, d’autant qu’on était venus à pied.
    
    En parlant de dérogation, Julia, assise à mes côtés, s’amusait discrètement à vérifier que j’étais bien du sexe masculin en égarant sa petite main sur ma braguette. Comme les autres semblaient fort occupés à engouffrer les crêpes, je pris l’initiative d’infiltrer ma main droite sous la ceinture élastique du sarouel saharien de ma voisine, un peu surprise mais amusée. Dans la ...
    ... foulée, je passai dans la petite culotte, dont la texture ressemblait à du satin. Mon audace, qui frisait l’inconscience, était évidemment liée à l’excès d’alcool. Julia, pour détourner l’attention des convives, attira leurs regards sur un hauturier illuminé qui rentrait au Guilvinec. Elle en profita aussi pour écarter légèrement les cuisses et faciliter l’accès de mon index à son minou. La fente était courte et elle s’humidifia immédiatement sous mon frottis délicat. Mon index venait de pénétrer dans la foufoune alsacienne quand je surpris le regard de Monique. Elle avait repéré notre aparté lubrique. Elle nous fit un clin d’œil complice, mais je retirai en vitesse la main du sarouel, car Robert s’amenait joyeusement avec deux nouvelles bouteilles de cidre et des parts de far breton, récupérées on ne sait où…
    
    Les futurs marins alsaciens, vers vingt-deux heures, décidèrent d’aller au lit, car leur nuit serait courte. Bien sûr leurs épouses, qui pour une fois s’amusaient, ne les accompagnèrent pas. Il fallut peu de temps à Monique pour accrocher mon copain, assez ébahi de la facilité avec laquelle elle avait progressé dans la gavotte et le pas de sept. Monique s’assit alors sur les genoux de Robert, de travers, lui entoura les épaules et agita lentement ses fesses sur l’appareil génital breton.
    
    — J’adore danser. Si ton copain nordiste, toi et Julia êtes intéressés par une démonstration de danse orientale, je suis à votre entière disposition, public adoré ! À Izmir, l’an ...
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