1. De l'importance des langoustines du Guilvinec


    Datte: 08/10/2018, Catégories: f, fh, 2couples, hagé, fagée, frousses, rousseurs, extracon, inconnu, copains, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, campagne, vengeance, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, échange, uro, Humour hum, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... Mulhouse. Monique, la sculpturale pisseuse dont je connaissais l’intimité imberbe mais pas la moitié supérieure, était vraiment une belle plante. Elle frisait le mètre soixante-quinze et ne se priva pas, quand elle nous servit à Robert et à moi un quartier de pizza, de nous faire découvrir, dans l’ouverture de son décolleté, une poitrine somptueuse et lourde, enveloppée de dentelle noire. Monique était malheureusement dotée d’un visage carré assez ingrat et d’un embonpoint, au niveau du ventre, qui frisait l’obésité.
    
    Les maris, un petit gros jovial pour Monique et un mec austère et filiforme pour sa copine, remercièrent chaleureusement Robert, qui leur avait trouvé un patron de pêche acceptant de les emmener le lendemain, aux aurores, sur son langoustinier ; départ quatre heures précises, devant la criée du Guilvinec. Robert insista lourdement sur le fait qu’ils avaient eu une chance inespérée, la veille de leur retour à Mulhouse, de bénéficier d’un tel privilège. De ce fait, il n’eut aucun problème à vendre ses tickets d’entrée au grand Fest Noz, organisé par l’Amicale Laïque de Pen’march, dont il était un fervent militant. Marie répondait à un appel téléphonique de sa fille. Monique nettoyait la table en faisant les yeux doux à mon copain, dont le regard plongeait dans son décolleté.
    
    Les maris étaient partis chercher leur portefeuille et je me retrouvai seul avec Julia, qui m’avait rejoint sur les marches d’un escalier en grès, pour fumer une cigarette. La ...
    ... Mulhousienne devait avoir mon âge, le nez retroussé, les cheveux frisés, décolorés en blond incendiaire. Une paire de lunettes à monture rectangulaire cachaient des yeux plissés, à la myopie prononcée. Installé sur la marche supérieure, je distinguais parfaitement une partie du string qui émergeait du jean de Julia, assise deux marches en dessous.
    
    Surprenant, quand même, qu’une quinquagénaire ose porter couramment, cette lingerie sexy, réservée en général, aux samedis soirs du devoir conjugal, juste après le film érotique. Une étroite bande élastique encerclait le bassin, un triangle minuscule de tissu rouge vif descendait dans ses reins pour se terminer par une ficelle étroite qui s’enfonçait entre ses fesses, dont je découvrais le tiers supérieur. Je me permis de lui faire remarquer que son mari avait bien de la chance d’avoir une épouse adorant la lingerie coquine. Julia inclina le buste pour écraser son mégot dans un pot de géranium, se retourna pour vérifier que mon regard était bien plongé dans l’échancrure encore plus béante de son jean et, le plus sereinement possible, elle m’adressa un message clair comme de l’eau de roche.
    
    — Mon mari se fout royalement de mes petites culottes ; il a été opéré de la prostate il y a deux ans… Par contre, si ça vous tente, en privé, je peux vous en présenter d’autres, tout aussi aguichantes… Vous savez, mon cher Pierre, c’est très dur de faire abstinence pendant deux ans des petits plaisirs sexuels qui m’aideraient à supporter les sautes ...
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