De l'importance des langoustines du Guilvinec
Datte: 08/10/2018,
Catégories:
f,
fh,
2couples,
hagé,
fagée,
frousses,
rousseurs,
extracon,
inconnu,
copains,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
vacances,
campagne,
vengeance,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
échange,
uro,
Humour
hum,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... ses doigts avec les ondulations de son bassin. Manifestement satisfaite, elle regagna la location en chantonnant, chiffonnant le slip blanc dans son sac à main.
Le lendemain matin, vers sept heures trente, je déposai le pain et le journal dans la cuisine. Je pris mon petit café et, pour retarder la première cigarette, je décidai de m’occuper du dressage d’un jeune berger malinois, qu’une des filles des Bretons avait laissé en pension. La journée s’annonçait splendide. Le chien, assez têtu, se montrait récalcitrant à mes « Assis, couché, debout… ». Marie, visiblement réveillée depuis peu, voulut participer au domptage du petit fauve, et elle s’amena avec un os en caoutchouc. Ses cheveux, bien que très courts, étaient ébouriffés. En guise de chemise de nuit, elle arborait un long tee-shirt, décoré du Titi jaune du célèbre dessin animé. Ses seins lourds se baladaient, sans entrave aucune, sous le coton. Le fougueux Malinois ramena l’os lancé par Marie mais, refusa de le restituer à sa maîtresse provisoire. Avant de s’accroupir pour amener le chiot à de meilleures résolutions, malicieuse, Marie fixa mon regard en souriant et me dit :
— Si tu espères vérifier si je porte une petite culotte ou pas, c’est raté !
Effectivement, bien qu’elle soit accroupie, je ne découvrais qu’un bout d’une grosse cuisse blanche et musclée, car Marie s’était mise de profil et sa main gauche tirait sur le bas du tee-shirt pour éviter qu’il ne remonte. On ne peut pas gagner à tous les coups ! ...
... Elle commit quand même une erreur grossière en essayant d’extraire l’os en caoutchouc de la gueule du berger. Celui-ci, agacé de ce jeu stupide, lâcha prise. Voilà donc ma copine les quatre fers en l’air dans le gazon. Le vêtement de nuit, remonté sur les cuisses ouvertes, n’était plus en mesure de cacher l’abondante toison d’un roux clair qui cachait en partie son petit minou adorable. Humiliée, ma copine refusa mon aide pour se relever, mais elle crut recouvrer sa dignité en me lançant une pique vacharde.
— Tu as vu que j’étais une vraie rousse, la belle affaire ! En tous cas moi, je reste fidèle à mes liens du mariage, et je suis encore amoureuse de mon époux…
Marie regagna la maison en insultant le clébard. Je restais dubitatif, non pas à cause de sa réflexion mais, à la voir de dos comme ça, je me demandais comment il se faisait que ses jambes soient si arquées… Certainement pour me montrer que je ne faisais pas partie de sa planète érotique, avant de pénétrer dans la cuisine, Marie se saisit de la lisière de son vêtement et souleva le tissu. Elle me montrait bêtement son derrière. Je ne le pris pas mal, car sa croupe était généreuse et rebondie, la fente de sa foufoune poilue émergeait d’entre ses cuisses, semblant m’envoyer un sourire coquin. Quelques longs poils, roux et frisés léchaient la raie qui séparait les hémisphères d’un blanc laiteux.
Le midi de ce jeudi, un apéritif en commun me permit de faire connaissance avec les deux couples de la banlieue de ...