1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (2)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... sur le sable. Elle se releva, s’approcha de moi et noua ses bras derrière ma nuque pour me gratifier d’un baiser à faire bander un eunuque ; et comme je n’en suis pas un, alors je ne vous décris pas ma réaction ! Eva n’eut pas besoin de commentaire, sentant contre son ventre la « banane » croître. J’avais passé mes mains sous son chemiser dans son dos et je la caressais lentement et sensuellement, alternant la pulpe de mes doigts et l’arête de mes ongles. Je la sentais frissonner. Elle leva les bras en l’air, et sans nous donner le temps ni la patience de défaire les boutons, je fis glisser le fin vêtement de voile par-dessus sa tête.
    
    En guise d’éclairage nous n’avions qu’un croissant de lune, parfois tamisé par un nuage passant par là. Des myriades d’étoiles étaient les témoins de notre tendresse. J’apercevais dans la pénombre de la nuit le corps parfait de ma compagne. Elle portait, hauts sur la poitrine, deux seins en forme de poire. Les mamelons semblaient vouloir sortir des globes. Quant aux tétons, je me faisais fort de les faire ressortir et durcir.
    
    Je m’approchai et saisis un sein dans ma main. Il était chaud et doux comme de la soie, pas dur, mais suffisamment ferme pour tenir droit sans l’aide d’un soutien-gorge quelconque. J’approchai ma bouche et me saisis de son aréole que je me mis à caresser de la pointe de ma langue. Eva me tenait la tête des deux mains et me regardait faire sans bouger. Sous ma langue je sentis le téton prendre vie, se réveiller. Je ...
    ... le pris entre mes dents et commençai à le mordiller délicatement.
    
    — Hum… j’adore ce que tu me fais ! dit-elle en me lâchant la tête.
    
    Ses mains étaient à hauteur de ma taille et s’escrimaient pour défaire ma ceinture ; rapidement mon pantalon tomba sur mes chevilles. D’un doigt de chaque main passé sous l’élastique de mon boxer, elle le descendit, libérant ma verge en érection qui sortit comme un diable de sa boîte pour se mettre à la perpendiculaire de mon abdomen. Eva la prit dans l’une de ses mains et alla cueillir de la pointe de sa langue une perle qui brillait à l’orifice du méat.
    
    — Hum, quel beau sucre d’orge que tu as là ! Toi au moins, tu as été gâté par les dieux.
    
    Elle ne put pas en dire plus : je venais de poser mes mains sur ses cheveux qu’elle avait repoussés sur sa nuque. Ses lèvres emprisonnèrent mon gland. Sa langue me massait le dessous, là où se trouve le point le plus sensible chez beaucoup d’hommes. S’habituant à sa grosseur, elle commença à me sucer comme si elle voulait extraire quelque élixir de ce membre qu’elle emprisonnait de ses lèvres. C’était le paradis ! Elle plaça son autre main sous mes testicules et commença à les malaxer délicatement. J’aimais ça… Eva approcha sa tête et prit un tiers de mon sexe dans sa bouche, puis entreprit un délicieux va-et-vient entre ses lèvres. Chaque fois que mon sexe allait sortir de sa bouche, elle en caressait le gland avec sa langue. Ma compagne, accroupie sur ses talons, s’adonnait avec application à ...
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