1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (2)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... cette fellation qu’elle prodiguait comme une experte. Il y avait longtemps que je n’avais pas bénéficié d’un pareil traitement ! Je sentais que je n’allais pas pouvoir me retenir longtemps ; sous mes bourses, une sensation agréable commençait à monter.
    
    — Arrête, Eva, sinon tu vas tout prendre dans la bouche ; je ne peux pas te promettre de me retenir.
    
    — Tu as raison, répondit-elle en sortant ma verge de sa bouche. On verra ça plus tard. Tu viens, on va à l’eau ? Ça va nous calmer.
    
    Elle se releva, me tourna le dos.
    
    — Tu veux descendre la fermeture de ma jupe, s’il te plaît ?
    
    — Avec grand plaisir, Madame !
    
    Je m’exécutai en descendant cette fermeture à glissière. La jupe tomba à ses chevilles, sur le sable. La ficelle d’un string disparaissait dans la raie de ses fesses.
    
    — Je peux ? demandai-je.
    
    — Non seulement tu peux, mais tu dois ! me répondit-elle d’une voie veloutée.
    
    Je passai deux doigts de part et d’autre du sous-vêtement et le descendis sur ses genoux. Afin de me faciliter la tâche, elle écarta un peu les cuisses et releva une jambe pour se débarrasser de cet ustensile devenu inutile, tout en me montrant son abricot brillant d’humidité : la fellation qu’elle m’avait prodiguée l’avait aussi passablement excitée.
    
    Elle réunit nos vêtements pour les laisser choir sur les draps de bain, puis elle me prit par la main pour m’entraîner dans l’eau. La mer était d’huile. Seule une légère écume coiffait les vaguelettes venant mourir sur la plage. ...
    ... J’étais en pamoison devant la beauté du corps de cette femme qui marchait à mes côtés, cette femme qui venait de me prendre dans sa bouche avec tant de délicatesse et de sensualité. Une quadra parfaite de toute beauté aux hanches en forme d’amphore grecque. Un fessier sublime tout en muscles, sans une once de graisse ou de cellulite, avec des jambes longues qui auraient certainement fait trembler d’envie Hollywood. Je ne parlerai pas de ses seins qui appelaient à la dégustation… Elle avait le pubis glabre, totalement épilé ; on aurait dit la foufounette d’une petite fille. Même pas un ticket de métro de poils pubiens sur le mont de Vénus : tout était nu !
    
    Nous avancions tendrement enlacés. L’eau montait au fur et à mesure, à chaque pas. Elle nous arrivait déjà au niveau de la taille. On se sentait légers. J’avais passé mon bras sur son épaule. Elle m’avait saisi une main pour la poser sur son sein droit. Je caressais cette poire avec son téton tendu vers les étoiles, un fruit qui certainement devait être protégé par un soutien-gorge de taille 95C. Je sentais sous mes caresses l’aréole se hérisser de petits points granulés et le bout prendre une consistance appelant à être mordillé.
    
    Je me tournai face à Eva et lui tendis ma bouche entrouverte. Nos lèvres se réunirent et nos langues se trouvèrent pour se caresser sensuellement. Mon sexe reprenait vie ; la main de ma compagne s’en saisit délicatement et, se haussant un peu sur la pointe des pieds, elle le plaça entre ses ...
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