1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (2)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... légèrement sur un genou, de sa main présenta ma verge à l’entrée de son vagin. Rapidement elle pesa et se pénétra à fond.
    
    Elle montait jusqu’à avoisiner la sortie de mon sexe, puis elle se laissait retomber de tout son poids, enfonçant ma verge au plus profond d’elle-même. Elle fermait les yeux, cambrait son torse en arrière en se tenant des deux mains sur mes genoux. Je sentais que mon gland ne pouvait pas aller plus profondément. Il glissait dans son fourreau de miel baigné de cyprine. Eva montait et descendait.
    
    Sa respiration se fit plus saccadée et rapide ; je lui vins en aide en lui imprimant le rythme de mes deux mains de part et d’autre de sa taille. Sentant qu’elle n’allait pas tarder à venir, je plaçai ma main droite retournée paume en l’air entre son sexe et mon pubis, trouvant rapidement le clitoris que je massai et excitai pendant qu’elle me faisait l’amour. Elle poussa un cri et s’affala sur ma poitrine en me baisant la bouche. Je pris le relais ; du bassin, je la pénétrai aussi profondément que je pus et continuai à lui faire l’amour. Elle poussa un râle et cria :
    
    — Ouiiii… Fais-moi jouir, mon homme ! Continue… ça y est, je décolle ! Viens avec moi ! On part ensemble… Ouiiiii !... Ouiiiii ! Viens, vide-toi, mon amour ! Défonce-moi, prends ton pied toi aussi !
    
    Je n’avais pas attendu son ordre pour jouir et me déverser en elle, longuement à ce qui me parut, en longs jets intenses et copieux.
    
    Quelques minutes plus tard elle avait repris ses sens et ...
    ... s’était calmée ; moi aussi. Nous étions repus. Il nous fallait du sommeil récupérateur. Eva s’allongea sur le côté, la tête sur ma poitrine et un bras entourant ma taille, avec toujours une de ses cuisses sur les miennes. Je sentais ma semence abandonner le vagin de ma compagne et couler sur ma jambe. Pas de problème : ce soir, je ne me lèverais plus ; je prendrais ma douche demain matin. J’étais HS, crevé, kaput ! On s’endormit ainsi tous les deux comme deux amoureux transis dans les bras l’un de l’autre, crevés mais heureux et rassasiés. Je dormis d’un sommeil profond et sans rêves.
    
    Ce fut la lumière du jour qui m’éveilla. Vu son intensité, la matinée devait être bien avancée ; il était 10 heures 30. D’un seul coup je me souvins : Eva, l’hôtel… Sa place à mon côté gauche était vide. Sur l’oreiller, une feuille de papier de format A4 pliée en deux. Je la pris et lus ces lignes tracées à l’encre bleue, d’une écriture soignée et penchée :
    
    Mon chéri,Tu dormais si bien ce matin que je n’ai pas osé te réveiller car toi aussi cet après-midi, tu vas reprendre ton travail. Tu as plus de responsabilités que moi. J’aurais tant aimé être ton second pilote… mais la vie en a décidé autrement.Il faut que tu saches que, de toute ma vie, il n’y a eu aucun homme qui m’ait donné le bonheur et le sentiment de me sentir femme comme toi tu l’as fait. Ton respect, ta prévenance, ta douceur et ta sensualité… Je suis persuadée que peu de femmes ont connu ce bonheur, sauf celles qui ont partagé ...