1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (2)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... bien utiliser au mieux le temps qu’il nous reste à être ensemble.
    
    Le chemin fut long. Sortis de la zone portuaire et des plages, on héla un taxi en maraude qui nous laissa en moins de deux à la porte de la réception. Nous arrivions vers nos bungalows. Eva sortit sa carte magnétique de son sac et me dit :
    
    — Je vais prendre ma trousse de toilette et je te rejoins par la terrasse au cas où des membres de moncrew seraient insomniaques ; je ne tiens pas à les mêler à ma vie privée. À tout de suite, mon cœur !
    
    Je rentrai chez moi et me déshabillai dans le salon sans allumer la lumière. En face, je vis Eva ouvrir en grand la porte-fenêtre de sa terrasse. Nu comme un bébé qui vient de naître, je passai dans la salle de bain, laissant la porte ouverte. J’entendis Eva m’appeler ; elle était entrée après avoir enjambé le petit muret de 90 centimètres qui séparait nos deux terrasses.
    
    — Je suis dans la salle de bain, chérie.
    
    — J’arrive tout de suite, mon cœur. Le temps de me déshabiller et je viens te frotter le dos.
    
    — Et tout le reste, si le cœur t’en dit.
    
    — C’est bien mon intention, t’inquiète…
    
    La douche était de plain pied, sans aucune séparation ni protection. Elle permettait à deux, voire trois personnes d’y prendre place sans se sentir à l’étroit. Eva arriva toute nue avec un petit sourire coquin sur les lèvres. Elle posa ses ustensiles de toilette sur le tabouret métallique et se planta devant moi.
    
    — Qui c’est qui ouvre le bal : toi, ou moi ?
    
    — ...
    ... Commence. Avec moi, ce sera vite fait ; et pendant que tu te laveras les cheveux, je te laverai le reste.
    
    — Alors assieds-toi sur le tabouret. Je vais te faire un shampoing car tu dois avoir la tête pleine de sable et de sel.
    
    J’obtempérai en m’asseyant les jambes grandes ouvertes sur le siège de métal. Eva avait saisi le pommeau de douche et me rinçait la tête. Elle me mit du shampoing et commença à me masser le cuir chevelu d’un mouvement circulaire, insistant sur les tempes et la nuque. Puis, considérant sans doute que le massage avait assez duré, elle se saisit de la lavette en nylon et me frotta le dos puis les fesses, en passant son doigt sur mon anus…
    
    — Tu aimes, ou tu ne préfères pas ? me demanda-t-elle.
    
    — Oui, j’aime quand c’est toi qui le fais. C’est la première fois que l’on me caresse là, à cet endroit.
    
    — Lève-toi et regarde-moi.
    
    Elle me savonna le cou puis le torse. Elle n’utilisait plus de la lavette, mais ses mains. Arrivée à la hauteur de ma poitrine, elle prit mes tétons entre deux doigts et se mit à les rouler. Elle me regardait dans les yeux. Je voyais son regard noir me fixer avec un air malicieux. Elle continua son massage au gel douche jusqu’à arriver à mon pubis, que je rasais régulièrement pour des raisons d’hygiène. Mon pénis avait retrouvé toute sa superbe et dardait sa longueur en direction de cette fée des sens.
    
    — Tu es juif, Adam ?
    
    — Non, Eva, je ne suis pas juif mais chrétien. Tu me demandes cela à cause de ma verge ...
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