1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (2)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... circoncise ?
    
    — Oui. Tu as eu un phimosis ? Moi, je suis juive mais non pratiquante. Ça te pose un problème ?
    
    — Absolument pas : tu es la première juive avec laquelle je couche, et je n’avais rien remarqué…
    
    — J’adore ton humour !
    
    Elle savonnait mon pénis ainsi que mes bourses, insistant de ses doigts autour du sillon qui sépare le gland du corps de l’organe. C’était agréable ; ma verge semblait apprécier car elle était prise de spasmes, donnant des à-coups comme si elle voulait sauter en l’air.
    
    Je ne restais pas sans rien faire ; je caressais ses seins tout mouillés. Ma main glissait entre les deux poires et mes doigts taquinaient les tétons. Eva s’accroupit devant moi et s’inséra entre mes jambes que je tenais grandes ouvertes. Elle plaça mon sexe entre ses deux lobes, l’emprisonna en les serrant l’un contre l’autre de ses deux mains et commença à bouger de haut en bas. Mon gland apparaissait entre ses seins chaque fois qu’elle se baissait. Jamais encore dans ma vie d’homme je n’avais bénéficié d’une cravate de notaire de cette qualité. Bon Dieu, que c’était agréable !
    
    — Arrête, chérie… Gardes-en pour plus tard, car vu la façon dont c’est parti, je crois que l’on n’est pas encore endormis.
    
    — Et pourtant il va falloir que je dorme : je bosse, moi. En plus, tu as vu l’heure ? Deux heures du matin ! Et moi, à 11 heures, il faut que je sois à bord pour superviser.
    
    Elle se releva, se savonna rapidement la chatte et je la rinçai abondamment. On se sécha ...
    ... mutuellement puis on passa dans la chambre à coucher que j’éclairai seulement avec la liseuse de mon côté. On défit le couvre-lit et on s’étendit. Eva vint se blottir entre mes bras, la tête sur ma poitrine et une cuisse par-dessus la mienne. Je sentais la chaleur de son sexe. Je voulus la retourner pour l’embrasser. Elle refusa.
    
    — Tu me laisses faire : à présent c’est moi le commandant, chéri.
    
    Elle se dégagea de mon étreinte et me grimpa dessus comme une cavalière enfourche son cheval. Elle s’allongea sur moi, m’offrant ses lèvres, sa bouche. Nos langues jouaient ensemble. Mon sexe était au niveau de ses fesses. Puis elle abandonna ma bouche pour me déposer des baisers dans le cou, sur la poitrine, sur les tétons. Pour la première fois de ma vie je ressentis des frissons sur tout le corps. Sa bouche continuait à descendre ; elle était maintenant sous mon nombril. Sa main passa sous mes fesses et me caressa sous les testicules. Parfois elle effleurait mon anus, me faisant tressaillir comme si j’avais reçu une légère décharge électrique.
    
    À présent, elle était au niveau de mon sexe. Sa langue en léchait le gland, essayant avec sa pointe de pénétrer l’orifice du méat. Elle prit le gland dans sa bouche et fit entrer ma verge aux trois-quarts. Elle me suçait avec application en insistant de sa langue sur les terminaisons nerveuses sous le gland. Mon érection était totale ; je ne pouvais pas être plus dur, long et gros. Eva abandonna sa friandise, se redressa et, se soulevant ...