1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (2)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... long de mon entrejambe sous mon périnée, sous mes bourses, en même temps que les bras de ma compagne m’enserraient très fort contre elle, comme si elle cherchait à se fondre en moi.
    
    — Ouiiiii !... Moi aussi je viens ! Donne-moi tout, mon amour ; vas-y, donne-moi toute ta force... Ouiiiii ! Mon Dieu, comme je t’aime, toi…
    
    Pour la deuxième fois en l’espace de quatre heures je déversais en longs jets – enfin, c’est ce que je ressentais – ma semence dans une femme qui, trois heures plus tôt, n’était que ma voisine, une parfaite inconnue.
    
    D’un seul coup elle se décontracta totalement. Ses mains lâchèrent ses jambes qui tombèrent brutalement le long de mes hanches. Son visage était d’une pâleur alarmante. Effrayé, je sortis de son ventre car sa réaction n’était pas normale. Elle avait les yeux totalement révulsés. C’est là que je me rendis compte qu’elle avait perdu connaissance. Je lui tapotai les joues en l’appelant par son prénom. Au bout de quelques secondes elle ouvrit les yeux et essaya de se redresser. Je l’aidai à glisser dans l’eau
    
    — Qu’est ce qu’il t’arrive ? lui demandai-je en la serrant tendrement contre ma poitrine.
    
    — Quand je t’ai senti venir en moi, j’ai entendu des cloches sonner à la volée, puis le voile noir, et je ne me souviens plus de rien.
    
    — Ça t’arrive souvent, cette réaction ?
    
    — C’est la première fois.
    
    — Eh bien, ma belle, je ne savais pas que cela pouvait exister, un orgasme pareil !
    
    — Parce que tu es unique. Tu ne m’as pas ...
    ... envoyée au septième ciel, mais directement dans la galaxie, avec ta fusée !
    
    Elle se retourna pour plaquer son dos à ma poitrine, ses fesses contre mon pubis. J’emprisonnai de mes mains ses seins qui n’avaient pas besoin de silicone pour tenir en place, comme deux fruits du paradis ne demandant rien d’autre que d’être consommés sur place. De lui-même, mon pénis était allé se loger entre les deux lobes, juste dans la raie. Il perdait de sa consistance. Il demandait grâce. On décida d’un commun accord de rentrer à l’hôtel. J’en profitai pour piquer une tête et regagner la plage en nageant entre deux eaux. Eva me suivait. Elle nageait comme une naïade. C’était une femme qui savait entretenir son corps, sans doute par des séances régulières de fitness.
    
    Nous regagnâmes nos draps de bain ; je pris le mien pour éponger soigneusement dans tous ses recoins Eva qui venait de sortir de l’eau. Après s’être séché les cheveux elle vint m’éponger le dos, les fesses, puis me retournant elle s’attaqua à mon torse glabre et vint plaquer ses lèvres sur les miennes dans un baiser fusionnel et tendre. Sa main arriva vers mon pénis, qu’elle sécha soigneusement en terminant par un baiser profond sur le gland.
    
    — Hum... C’est salé ! On prendra une douche à notre retour chez nous.
    
    — On va chez moi ou chez toi ? lui demandai-je.
    
    — C’est pareil : que ce soit chez toi ou chez moi, l’objectif est le même : je n’ai pas envie de dormir seule ce soir.
    
    — Moi non plus. Rassure-toi, chérie, je compte ...
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