1. Atterrissage caliente à Fuerteventura (2)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Nostagique44, Source: Xstory

    ... portai mon index à ma bouche : ce n’était pas désagréable. C’était légèrement salé et avait toujours ce léger goût de fruits de mer, d’iode, que j’adorais.
    
    — Viens, prends moi ! me supplia-t-elle. Je n’en peux plus  !
    
    — Tu veux venir sur moi ? lui demandai-je.
    
    — Non, je veux te sentir... Je veux que ce sois toi qui me prennes. Je veux sentir ton corps sur le mien.
    
    Je me positionnai debout face à ma compagne, entre ses cuisses toujours remontées sur sa poitrine. Mon pénis était à la bonne hauteur. Eva avait avancé son bassin un peu en dehors du promontoire, positionnant ainsi sa vulve au niveau de ma verge qui avait repris toute sa vigueur. J’approchai mon gland de l’entrée, et d’un mouvement du bassin Eva vint au devant de moi, se pénétrant elle-même avec mon sexe érigé comme une épée.
    
    C’était chaud, accueillant et bon. Je poussai un peu pour la pénétrer encore plus.
    
    — Attends, chéri... Laisse ma foufounette s’habituer à ton sexe. Tu es monté assez fort, tu sais, et je n’ai pas l’habitude...
    
    En effet, le vagin de ma partenaire m’enserrait comme un gant. On aurait dit qu’il avait été taillé sur mesure pour moi, pour enserrer ma verge qui sentait ce vagin l’habiller comme une gaine. Laissant passer un instant, je me retirai un peu.
    
    — Non ! Ne t’en vas pas ! J’aime ton sexe comme il me remplit. Vas-y, continue doucement jusqu’au fond... Mon Dieu, comme je me sens bien ! Je sens ta bite me remplir. Elle est dure, chaude…
    
    Je poussai délicatement jusqu’à ...
    ... sentir au fond quelque chose contre laquelle butait mon gland. Mon pubis était tout contre ses grandes lèvres. Contractant un peu mon périnée, je sentis mon sexe se raidir encore plus dans ce vagin qui mouillait de plus en plus. Je glissais à présent plus aisément en lui. Eva avait les yeux grands ouverts, les pupilles dilatées comme deux soucoupes.
    
    J’avais enfoncé ma verge tout au fond de son vagin. Elle avait relevé son bassin et encerclé ma taille de ses jambes. Nos lèvres s’unirent dans un torride baiser par lequel nous échangeâmes, j’en eus l’impression, des litres de salive. Eva commençait à onduler du bassin sous moi. Je continuais mes lents mouvements de navette en avant jusqu’à buter contre cette chose que je soupçonnais être le col de son utérus, puis je reculais en prenant bien soin de ne pas laisser sortir mon gland de son gant si chaud et visqueux. Je sentais mon sexe devenir de plus en plus dur et sensible. Eva aussi, car elle accélérait son mouvement...
    
    — Continue ! Surtout ne t’arrête pas ! Vas-y, mon chéri, viens bien au fond de moi. Je te sens… J’aime ta queue qui me remplit… Je vais venir…
    
    — Alors viens, trésor ; je crois que je vais venir avec toi…
    
    — Oui ! Fais-nous décoller, mon Commandant à moi !
    
    J’accélérai mes mouvements de va-et-vient avec le plus d’ampleur possible. Mon pubis frappait avec force l’abricot de ma partenaire qui se préparait à décoller pour le septième ciel, jusqu’au moment où je sentis cette vague me submerger, monter le ...
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