1. Berlin, son histoire, ses vices 3


    Datte: 02/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Charime, Source: Hds

    ... avait entièrement raison en te décrivant comme une future salope. Elle a le nez pour flairer les sales petites putes dans ton genre. Tu es aussi gouine que toutes celles dans mon club ?
    
    - Je ne l’étais pas avant aujourd’hui, Mademoiselle Janice.
    
    Alors que le jour était levé, elle insiste sur l’adresse de l’appartement visité en giflant ma poitrine, mon sexe déjà douloureux. Je refuse de la lui donner, je veux qu’elle me le fasse avouer par plus de douleur. Oui, je veux en baver encore, je veux connaitre mes limites, cette frontière qui sépare le supportable de l’insupportable. Ce qu’elle fait en me cinglant mon cul à grands coups de cravache. Ce que je fais, lui donner l'adresse pour finir, en larme, le corps entièrement en feu. Elle fait coulisser un vibromasseur dans mon sexe, m’arrachant un orgasme si énorme que je ne pensais pas qu’il soit possible que l’on puisse jouir de la sorte. Il vient de sonner neuf-heure au petit clocher du coin de la rue quand elle sort un téléphone cellulaire et sans fil de son sac. C’est le tout premier téléphone portable que je découvre de ma courte vie. Composant un numéro, elle continue de me branler doucement. Sa voix se fait encore plus autoritaire. Posant des questions précises au sujet de cet appartement, elle m’embrasse goulument en écoutant les réponses de son interlocuteur. Je comprends très vite que Mademoiselle Janice parle de moi, de l’appartement que je vise. Et, tapant vigoureusement du pied, elle insiste pour que je ...
    ... l’obtienne et sans en avoir à payer les charges ou le moindre dépôt de garantie. Sa bouche sur la mienne est un régal pour la novice que je suis encore. Je me délecte de sa bouche. Avant d’en finir avec la communication, elle va délivrer Béa et me l’envoie violer mon corps de ses fines mains. Je vais subir un nouveau fisting. Je mouille comme une fontaine rien que de le savoir, de le supporter. La petite main de Béa, largement lubrifiée s’enfonce lentement dans mon sexe que je sens presque se déchirer. J’en ai un peu mal, mais c’est surtout du plaisir que je ressens, un énorme plaisir, tout ça en même temps. Sur ma bouche, la bouche de Mademoiselle me régale de ses baisers embrasés, me mordant cruellement ma langue parfois ou mes lèvres qu’elle étire semblant vouloir me les arracher. Quand l’autre main de Béa s’enfonce dans mon cul, je crois bien mourir de bonheur. Je ne cesse plus d’hurler que c’est bon, que j'en veux encore, parfois en français, parfois en allemand ou encore en anglais. La main libre de Mademoiselle me fixe des pinces sur mes seins. Je vis ces scènes dans ces films achetés la veille, là, en direct, à même mon corps. Plus Mademoiselle voit que j’éprouve un plaisir certain, et ce n’est pas peu de le dire, plus elle repousse mes limites au-delà de ce que je pensais être supportable. Cette fois, elle me possède comme on possède sa voiture et je me sens prête à la suivre en enfer si Béa m’y accompagne. Puis, son téléphone portable sonne une petite mélodie faite de ...
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