1. Berlin, son histoire, ses vices 3


    Datte: 02/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Charime, Source: Hds

    ... jouir. Que du bonheur, j'en veux encore. Pire, j’en exige davantage mais, dans ma tête.
    
    Puis, les deux femmes me ligotent de cordes de chanvre, elles me suspendent au plafond. Là, mon corps peut être violé de la manière qu’il plaira à Mademoiselle. Je suis attaché de telle sorte que toutes les parties intimes de mon corps sont accessibles et je ne peux même pas me défendre. Là, une question se pose, ai-je réellement envie de me défendre ? Béa est aussi solidement attachée, à une sorte de croix, une croix de Saint-André, je crois. Face contre la croix, elle sent rapidement son cul, son dos et ses jambes se faires zébrer au martinet puis à la cravache. Enfin, un gode bien large, bien long s’enfonce entre ses fesses, lui arrachant un long cri de douleur à la belle Béa. Je crains maintenant de subir le même sort, il n’en est rien. Mademoiselle possède une très grande maitrise de son art, celui du supplice divin. Elle me fait gouter à une petite partie son savoir. Augmentant la douleur au fur et à mesure qu’elle m’entreprend, repoussant sans cesse mes limites, elle me claque mon corps. Je me souviens alors du film, la scène des orties. Mademoiselle en possède un large bouquet tout frais, planté dans un large et haut pot de terre cuite qu’elle doit entretenir avec grand soin. Sur mon corps, si elle le frappe, ce n’est jamais très fort, juste pour allumer mes sens, me mettre le feu, faire exploser le volcan enfoui en moi. Elle veut que je l’implore afin de cesser ses coups. Ce ...
    ... que je fais est exactement le contraire, après avoir encore joui, quand ses doigts me fouillent mon cul. Je sens sa main lubrifiée me pénétrer. J’hurle de douleur et de plaisir, tout à la fois. Il me semble que mon corps va se déchirer en deux, se disloquer avec les mains de Mademoiselle, sa main entièrement en moi. Je suis dans un état second, un état de grâce, un état permanent de plaisir, d’orgasme. Puis, sa main vint me baffer à plusieurs reprises, j’en ai les larmes aux yeux, coupant court à un orgasme près à jaillir. Elle enfonce ses doigts dans ma bouche, je les lèche tous, sentant le gout et l’odeur de mon cul. Sa main retirée, elle me gifle encore en mettant plus de force encore. L’extase est totale cette fois, je perds connaissance pendant mon orgasme. Je ne sais pas combien de temps je suis restée ainsi. Cette gifle m'oblige à reprendre mes esprits, du moins en partie. Une autre me rappelle où je suis et avec qui et l'interrogatoire commence :
    
    - T’habite où ? Et hop, elle me file une gifle !
    
    - Dans une famille, dans le centre.
    
    - Un appartement ou une mansarde ? Et pan, une baffe.
    
    - Une chambre de bonne pour le moment.
    
    - Pour le moment, serait-ce que tu veux te prendre un appartement ? Encore une baffe
    
    - Oui, pas loin d’ici. J’ai vu un appartement de trois pièces équipé et meublé.
    
    - Équipé ? Encore une bonne baffe
    
    - Oui, comme le vôtre, Maîtresse.
    
    - Tu réponds bien, tu es une bonne soumise, une pure petite chienne bien chaude, toi ! Béa ...
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