1. Les années folles


    Datte: 01/10/2018, Catégories: fh, jeunes, extracon, cocus, grosseins, campagne, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, confession, occasion, cocucont, Auteur: Mess, Source: Revebebe

    ... communal avec en lisière un bosquet d’arbres. Je m’y dirige, un peu de marche me fera du bien.
    
    La pleine lune éclaire mes pas, comme en plein jour. Les odeurs du printemps se mêlent à la brise. Il fait toujours aussi doux, la nuit n’a pas eu d’effet sur la température.
    
    Soudain, je distingue une ombre, au milieu des arbres. En m’approchant, cette ombre prend forme. Deux personnes. Encore quelques pas. Une charge d’adrénaline m’explose au cerveau. Je me cache, comme je peux, derrière une haie proche de la route et plongée dans l’ombre. Cette fois c’est sûr, il s’agit bien de Déborah et Julien !
    
    Le dos appuyé sur le tronc d’un chêne, il a le pantalon et le caleçon baissés jusqu’aux chevilles. Le dos creusé, il tend au maximum, un sexe de taille généreuse. Pendant que ma femme, debout à côté de lui, le masturbe fermement, avec des mouvements assez rapides, l’engin serré entre ses longs doigts. Lui, même si j’ai du mal à discerner son visage, à l’air aux anges. Il l’embrasse à pleine bouche. Des deux mains, il soupèse, caresse, malaxe les deux gros seins libérés de la robe et offerts à la nuit claire.
    
    Je me déplace sans bruit et m’accroupis derrière la haie, à un endroit où ils ne pourront pas me surprendre (de loin, avec mon uniforme de soldat, je dois ressembler à un cinglé qui se croit à la bataille de Verdun).
    
    Je sais ! Ce n’est pas bien de jouer les voyeurs, c’est même sûrement pervers. Toutefois, je ne ressens aucune jalousie. Seulement une excitation ...
    ... poussée à l’extrême. Mon érection me fait presque mal. Le spectacle continue, je n’en perds pas une miette.
    
    Par intermittence, les voitures qui filent sur la nationale éclairent furtivement ma femme et son amant d’un soir.
    
    À présent, elle est à genoux devant lui. Il cherche à se faire sucer, mais elle refuse en tournant le visage et continue à le branler. De l’autre main, elle lui caresse les testicules. Ses seins balancent au rythme du va-et-vient.
    
    Leurs voix se perdent dans la nuit. Mais je sais que Déborah doit accompagner sa caresse de paroles vicieuses. C’est dans ses habitudes, elle adore ça.
    
    Je jette un œil sur la salle des fêtes. Toujours le petit groupe de fumeurs au loin, personne ne s’approche.
    
    Un grognement sourd. Les phares d’un camion projettent une lumière blanche en direction des deux amants. Je vois distinctement le sperme jaillir par saccades. L’éjaculation s’éternise, preuve physique que Julien a été excité toute la soirée par sa rencontre avec ma femme. Déborah secoue sa queue, envoyant du foutre dans toutes les directions, comme si elle cherchait à fertiliser l’étendue du bosquet. Puis, la source enfin tarie, elle se redresse. Je la vois sortir des kleenex de son sac, s’essuyer les mains et réajuster le haut de sa robe, après que Julien lui a attrapé une dernière fois un sein et mordillé le téton. Dernier souvenir de cette poitrine qui l’a rendu fou. Il remonte son pantalon. J’en profite pour filer à l’anglaise. Tel un voleur d’intimité.
    
    Mon ...