1. Les années folles


    Datte: 01/10/2018, Catégories: fh, jeunes, extracon, cocus, grosseins, campagne, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, confession, occasion, cocucont, Auteur: Mess, Source: Revebebe

    ... ? Je ne peux m’empêcher de lui en parler quand elle se colle langoureusement contre moi.
    
    — Alors, tu t’es fait un petit copain ?
    — Tu es bête. Il a vingt et un ans. C’est un étudiant. Tu sais bien que je n’aime que les hommes mûrs, mon chéri ! dit-elle en me pinçant la fesse.
    — En tout cas, lui il n’a pas l’air insensible à ton charme.
    
    Elle ricane.
    
    — Ça c’est vrai. Il m’a dit qu’il n’avait jamais vu une femme de mon âge aussi attirante. Je sais pas comment je dois le prendre !
    
    Le morceau se termine, remplacé par un autre. Je vais inviter ma tante à danser. Déborah va fumer une cigarette à l’extérieur. Dix minutes plus tard, tandis que je retourne m’asseoir, je la retrouve avec Julien. Ils dansent un slow au milieu de la piste. Elle aurait dû tenir son partenaire à distance réglementaire. Mais, non ! Elle est serrée contre lui. Les bras enlacés autour de son cou. Elle bouge à peine, savourant le contact intime de ce corps contre le sien. Quant à lui, une main posée sur la hanche de ma femme, l’autre sur le creux de ses reins, il savoure la situation.
    
    Bientôt sa main glisse négligemment vers ses fesses, elle le laisse faire, alors qu’il a dépassé la limite normalement autorisée. Il lui caresse doucement, d’un geste presque imperceptible, le haut des fesses, sans descendre plus bas. Ce n’est pas l’envie qui doit lui manquer. Pourtant il n’ose pas, de peur de se faire surprendre, j’imagine.
    
    Ma femme doit être excitée. Ses seins sont plaqués sur le torse de ...
    ... Julien, il en discerne certainement la consistance, le volume. La danse devient de plus en plus langoureuse. Il a une jambe glissé entre celles de Déborah. Il bande maintenant. C’est sûr ! Le sexe plaqué sur le bas-ventre de ma femme qui, elle, peut dans cette position, frotter son mont de Vénus contre cette cuisse offerte.
    
    Ce petit manège s’arrête après une dernière rime d’Hervé Vilard. Je suis dans tous mes états, plus du tout jaloux. Seulement très excité.
    
    Déborah veut retourner à la table, boire une coupe et manger une part de gâteau. Je l’accompagne en faisant comme si je n’avais rien remarqué. Sa bonne humeur est communicative. On reste là un moment, à discuter avec un autre couple. Avant qu’elle ne se relève pour aller danser, en me tirant par le bras. Le disco a remplacé les slows.
    
    — Non bébé, s’il te plaît, je suis crevé. Va danser toute seule.
    
    Elle n’insiste pas.
    
    — D’accord. Mais tant pis pour toi si je fais des rencontres, dit-elle en rigolant et en s’éloignant vers la piste de danse.
    
    Je reprends ma discussion pour un moment. Moment suffisamment long pour que j’en oublie de surveiller ma femme…
    
    oooo0000oooo
    
    Je sors prendre l’air et soulager une envie pressante. Trop de monde en attente devant les toilettes. Dehors, un groupe de fumeurs m’oblige à chercher plus loin un peu de tranquillité.
    
    Devant moi, une route départementale encore assez fréquentée à cette heure tardive. Sur la droite les murs d’une école. À gauche, plus loin, un terrain ...