1. Les années folles


    Datte: 01/10/2018, Catégories: fh, jeunes, extracon, cocus, grosseins, campagne, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, confession, occasion, cocucont, Auteur: Mess, Source: Revebebe

    ... poitrine est moulée dans un tissu à paillettes qui dessine parfaitement le galbe et le volume impressionnant de son 95F. Ses jambes sont prisonnières de bas résilles qui ne laissent pas Julien indifférent. Il donne l’impression de ne pas y toucher, mais par moment son regard glisse furtivement sur les cuisses et surtout sur les seins de Déborah.
    
    J’observe la parade nuptiale de loin, sans toutefois ressentir la moindre jalousie. Elle m’a déjà avoué être parfois attirée par les hommes plus jeunes qu’elle. Une sorte de fantasme qu’elle n’assouvira jamais. Sinon ce n’est plus un fantasme. C’est ce qu’elle dit.
    
    Avec mes deux assiettes bien remplies, je regagne ma place. Un ancien copain de jeunesse et son épouse sont déjà attablés à ma droite. Je leur présente Déborah, qui daigne enfin abandonner Julien pour se mêler à notre conversation. Certes, assez peu passionnante pour elle. On ressasse nos vieux souvenirs.
    
    oooo0000oooo
    
    La soirée se déroule. Les plats défilent. Viandes, légumes, fromages. Peu avant le dessert, on baisse les lumières. Commence alors l’inévitable cérémonie : projection de photos de la jeune retraitée, suivie de sketches en son honneur. J’applaudis aux moments opportuns, tout en remerciant le ciel de ne pas avoir été convié à participer au spectacle. Ma tante à l’air très contente de sa soirée. Je vais la féliciter, et reste à sa table un petit moment.
    
    Déborah a réengagé la conversation avec Julien. Leurs sièges se sont rapprochés.
    
    Je m’en ...
    ... rends compte et commence à les surveiller de loin. Elle se penche régulièrement pour lui parler à l’oreille, la sono étant un peu forte. Chaque fois, son sein s’écrase sur l’épaule du garçon, peut-être par inadvertance, mais j’en doute. Une pointe de jalousie me blesse le cœur. Vite cicatrisée par la formidable excitation de voir ma femme flirter et même maintenant, se frotter à ce type de quinze ans plus jeune qu’elle.
    
    Le spectacle est terminé. Place à la danse. On remplit les verres, on pousse les tables et le groupe de musiciens balance le meilleur de son répertoire.
    
    Bientôt, une bonne partie des convives frétille sur le parquet, agglutinés sous une boule à facette au centre de la salle. Des spots multicolores éclairent les silhouettes. Soirée disco au temps de la prohibition ! J’en profite pour aller me chercher un verre.
    
    oooo0000oooo
    
    Le groupe commence à fatiguer. C’est l’heure de souffler les bougies. Ma tante remercie tout le monde sous les applaudissements. Bientôt, une chaîne-stéréo remplace les musiciens. Déborah me rejoint quand démarre une série de slows. Elle est plus belle que jamais avec ses longs cheveux noirs et cette robe qui la rend si attirante. Elle ne porte pas de soutien-gorge, mais le tissu, tellement serré, retient de lui-même la lourdeur de sa poitrine. Ses tétons sont dressés et semblent vouloir percer la soie. Encore un détail qui n’a pas dû échapper à Julien. Elle m’accorde la première danse. Aurait-elle quelque chose à se faire pardonner ...
«1234...»