La patrouille se forme. - Histoires de Sexe

La patrouille se forme.

... temps pour retrouver ses esprits, puis je lui dis :

— Il lèche bien. C’est vraiment un très bel amant ! Tu avais du plaisir avec lui, avoue : je n’en serai pas jaloux. Plus maintenant.
— Oui. C’était bien. Mais, Jean…
— Chut, ma chérie, ce n’est que le début. Tu as joui, mais pas lui. Voilà, il enlève… oui, tout. Tu as raison. D’ailleurs, je vais faire comme toi…

On entend un bruit de ceinture et de zip.

— Il bande, ma chérie. Comme moi, d’ailleurs. Tu nous excites. Il faut dire que tu es si belle et que ta position nous inspire. Tu verras sur la vidéo comme nous sommes beaux. Je comprends ton choix : il est bien monté ! Moi aussi j’avais remarqué à la plage que son sexe semblait bien long, mais quelquefois l’érection ne change pas beaucoup. Pour un peu, je serais jaloux de ton amant.
— Jean…
— Oui, tu as raison, dis-je, faisant semblant d’interpréter mon prénom comme une remarque. Oui, je bavarde. Je bavarde, alors que tu n’attends que ça, que sa belle queue te prenne. Allez, Gérard, montre-lui !

L’œuf quitte la grotte avec regret, mais c’est aussitôt un gland qui prend sa place. Il faut dire que le vagin semble ouvert, avec les cuisses si écartées.

— C’est beau, une queue qui entre, chérie. Et toi ?
— Oui, je sens la pointe. Elle glisse… glisse… Je suis toute mouillée.
— C’est vrai, ta chatte coule. Tu as joui très fort. Tu sens comme elle est longue ? Elle doit te donner plus de plaisir que la mienne.
— Mais non, mon chéri ; avec Gérard c’était ...

... différent, c’est tout.
— Allez, Gérard, fais-la jouir. Je veux voir ta queue la faire reluire. Je veux entendre ma femme hurler de tant de plaisir. Et moi je vais regarder.

La queue devient un piston qui entre et sort sans fatigue apparente. La chatte est grande ouverte et bâille lorsque le mandrin se retire trop loin. Quel spectacle magnifique ! Un homme ne se lasse jamais de la vision d’une queue bien raide qui va-et-vient dans ce conduit humide et gluant, d’autant que la position de Martine expose largement son entrecuisse.

— Il te fait du bien, ma chérie ? Sa queue est magnifique de puissance. Elle ressort grasse de ton jus, c’est extraordinaire ! Moi, je bande comme jamais. Je te filme avec la tablette : comme cela tu pourras revivre tout ça.
— Oh oui, elle me fait du bien. Je la sens… Merci, mon amour, pour ce cadeau.

La queue accélère ; nul doute que ces échanges l’excitent. Ma femme est si ouverte que les couilles frappent le disque du plug, ce plug qui participe aux sensations.

— Je viens ! Je viens ! annonce Martine.

Depuis un moment, il n’est plus nécessaire de questionner : elle parle, se libère. Moi aussi, je laisse sortir des vulgarités bien perverses, mais excitantes.

— Ah, putain, que c’est beau de voir sa femme devenir salope et se faire tringler par son amant ! Sa grosse bite la bourre et elle aime… Combien de fois ai-je trempé ma queue dans ce trou alors qu’elle venait de se faire baiser par lui ? Combien de fois ma queue a-t-elle glissé dans ...