La patrouille se forme.
Datte: 26/09/2018,
Catégories:
fhh,
cadeau,
cocus,
vacances,
fsoumise,
Oral
Partouze / Groupe
fdanus,
jouet,
attache,
BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... le foutre de son amant ? Ah, la salope ! Ah, la garce ! Allez, Gérard, fais-la crier. Allez, salope, crie que c’est bon, que ton amant te fait jouir, qu’il te baise et que ton mari regarde, bande et attend son tour !
Mes propos orduriers ne parviennent peut-être pas distinctement aux oreilles de ma femme, emportée par sa jouissance, mais au moins elle en comprend l’envie. Elle y répond par des cris indistincts mais si forts que j’ai peur que des passants s’inquiètent.
La queue, elle aussi donne des signes de fatigue. J’interroge :
— As-tu déjà craché dans la gorge de ta maîtresse ?
— …
— Alors aujourd’hui, tu vas pouvoir. Viens. Ma femme va t’accorder cette faveur qu’elle ne concède qu’à moi, et moi je veux la voir avec ta queue dans la bouche et cracher ta semence.
La queue grasse fait le tour de la table pour y découvrir Martine les lèvres entrouvertes.
— Mieux que ça, femme infidèle ! Ton mari t’ordonne d’accepter la crème de ton amant ! Tout homme a droit à ce plaisir. Penche la tête en arrière qu’il puisse y glisser la queue qui vient de te faire jouir.
Martine joue parfaitement le jeu. Maintenant, sa bouche est grande ouverte et le bâton s’y glisse pour progresser le plus loin possible. Une belle longueur disparaît, mais malheureusement pas tout, malgré l’inclinaison.
J’imagine déjà la prochaine punition pour la femme infidèle : je vais à force d’exercices lui faire avaler la totalité d’un mandrin. J’imagine qu’il suffit d’un peu ...
... d’apprentissage et de faire disparaître ce réflexe malvenu. Ah, voir la bite n’être arrêtée que par les couilles !
En attendant, la queue décide de prendre l’offensive. Il n’est pas nécessaire de dire au propriétaire que cette gorge est à sa totale discrétion. Pas besoin de bloquer le visage, la table s’en charge. Elle piaffe d’impatience et elle trace son chemin.
— Suce, Martine. Suce la queue de ton amant. Et toi, Gérard, mets-la-lui profond. Toi aussi, tu as droit à ce plaisir. N’est-ce pas vers toi que cette femme qui a le feu au cul est allée se faire baiser alors que son mari la délaissait ?
La gorge gargouille. La salive coule à flots des lèvres soumises. Que c’est beau, ce viol accepté par amour ! Enfin la sève monte et déferle. Elle jaillit, abondante, et inonde le palais, titillant la glotte qui n’en demandait pas tant. La bite reflue.
— Stop. Montre-moi le jus de ton amant.
La langue pousse la crème épaisse pour la faire admirer. Le palais sert de réservoir. C’est délicieusement obscène.
— Déguste ma femme. Déguste le résultat de ton travail. Apprécie le goût, différent du mien.
En bon petit soldat, ma femme avale. Ah, il me suffit de fermer les yeux pour suivre la progression de la crème le long de son œsophage, glisser doucement en des lieux mystérieux. Quelle preuve d’amour !
Je vais chercher une coupe de champagne, et en lui proposant quelques gouttes délicatement versées entre ses lèvres, je la félicite.
— Buvons, dis-je en trinquant avec mon ...