1. La patrouille se forme.


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fhh, cadeau, cocus, vacances, fsoumise, Oral Partouze / Groupe fdanus, jouet, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... Enlève ta robe, ma chérie, et allonge-toi. Sur le dos… Voilà. Parfait.
    — Jean, je peux te poser une question ?
    — Si tu veux, la dernière. Après, tu sais que tu ne dois parler que si je t’y autorise.
    — Oui, oui, bien sûr.
    — Alors ?
    — La coupe. Pourquoi une troisième coupe ?
    — Mais pour notre invité, bien sûr. Un invité. J’ai décidé d’inviter un de tes amants pour corser un peu. Qu’en penses-tu ? Je voudrais te voir avec un autre homme. Les amateurs de ce genre de spectacle disent que c’est super bandant. Aussi bien pour la femme que pour l’homme.
    
    Comme toujours maintenant, Martine entre dans le scénario. Elle n’a plus peur d’oser proposer les choses les plus folles, et encore plus de les accepter de ma part. La confiance et la complicité sont totales, et notre vie de couple – même en dehors du sexe – s’en est trouvée améliorée. Finies les disputes pour des broutilles. Mieux, l’amour qui s’était effiloché avec le temps est revenu. Elle resplendit, et moi j’ai chassé cette dépression, emmenant avec elle mes pannes d’érection. Je bande comme un jeune homme.
    
    — Lequel as-tu choisi ? me demande-t-elle.
    
    Au fil des jours nous avons créé de toutes pièces une panoplie de mâles, mélangeant les fantasmes masculins aux féminins.
    
    — C’est une surprise. Tu verras.
    — Mais je le connais ?
    — Mais bien sûr : c’est le meilleur. Tu verras, tu ne seras pas déçue.
    
    La mise en condition psychologique est importante pour nos jeux. Chacun doit se mettre dans la peau du personnage ...
    ... pour que le plaisir soit bien au rendez-vous. Elle n’insiste pas.
    
    Il me faut bien vingt minutes pour la mise en place de la prisonnière. Le plus long, c’est ce bondage des seins que je m’applique à rendre le plus symétrique possible. La tension ne doit pas être trop forte pour ne pas risquer d’abîmer les prothèses, mais suffisante pour que les deux globes se transforment en quasi-boules parfaites, avec comme unique protubérance le téton. Petit à petit ils se colorent d’un rouge sombre. Une pince sur chaque téton complète mon œuvre.
    
    À chaque avancement, je ne cesse d’effleurer Martine. Une fois allongée sur la table, c’est plus rapide. La table est courte et étroite, juste une table pour quatre couverts que l’on trouve dans certains restaurants. Elle tient à peine en longueur. Tirer les poignets pour les solidariser avec les pieds va très vite. Sa poitrine en ressort encore un peu plus. Pour les jambes, c’est un peu plus long : j’ai prévu de les plier pour attacher la cheville au haut de la cuisse ; un dernier lien va des cuisses aux pieds de table.
    
    Ma prisonnière est ainsi particulièrement offerte de façon perverse. Ses seins forment deux énormes îlots, tels des pains de sucre dans la baie d’Along, et les cuisses repliées et totalement ouvertes donnent une vue splendide sur sa chatte et son œillet.
    
    Je parfais mon montage par un plug anal que Martine accepte de bien engluer de salive avant que je lui enfonce dans le cul. J’ai choisi celui avec une queue de cheval ...
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