La patrouille se forme. - Histoires de Sexe

La patrouille se forme.

... presser les seins pour en tester la dureté, se glisser entre les lèvres de Martine et se faire sucer les doigts.

— Je comprends ta surprise ; vous ne faisiez pas comme avec moi. Plus classique ; mais je suis sûr que tu la faisais jouir aussi… Je ne doute pas que tu prenais ton pied.

Une bouche court sur les seins, la langue abandonnant des traînées rafraîchissantes.

— Tu peux enlever les pinces si tu veux, elle est toute à toi.

Les pinces son enlevées et remplacées par la bouche et la langue qui passent d’un téton à l’autre. Martine gémit.

— Tu vois comme elle est réceptive : nos petits jeux amplifient le plaisir. Tu ne devineras jamais comment cela a commencé…

Alors je raconte rapidement nos découvertes successives, cordes et bandeau. Et puis j’arrive à l’épisode de la tablette.

— C’est là que j’ai découvert ta liaison avec ma femme. J’ai découvert que Martine allait te rejoindre. Que toi, Gérard, tu étais son amant.

Le silence est assourdissant dans la pièce. Juste Martine qui dit :

— Jean, tu étais au courant ? Je…
— Chut, Martine, laisse-moi terminer. J’ai d’abord été furieux, et puis j’ai compris que j’étais fautif et j’ai pardonné. Mieux, cela m’a donné l’idée de nouveaux jeux, d’inviter des amants imaginaires, des gages et des punitions pour la femme adultère. Et ce soir, pas d’amant imaginaire, mais c’est toi, Gérard, que j’invite à partager avec nous ces moments particuliers.

Je m’approche de Martine et cherche ses lèvres pour un ...

... tendre baiser. Puis je la rassure en lui confirmant mon pardon et la remercie.

— Oh, Jean, pard…
— Chut, chérie. Ce soir, c’est Gérard – ton amant – qui va te faire jouir, et moi je vais regarder. Tu veux bien ?
— Oui, mon amour.

Je m’éloigne un peu et dis :

— Gérard, prends donc la télécommande. Elle commande un œuf dans la chatte de ta maîtresse.

D’abord on n’entend rien, mais la prisonnière réagit aussitôt.

— Chérie, raconte-moi ce que ton amant, ce que Gérard te fait. Je veux le voir, mais je veux l’entendre.
— L’œuf vibre… Il le met plus fort… Il le pousse avec ses doigts… Il me branle… Plus fort…

On entend maintenant la vibration.

— Ahhh… il me suce le bouton ! C’est bon…

La langue s’active. Les lèvres pompent le clito qui grossit et devient la petite bite si sensible. Martine ne parle plus mais elle se tortille, profitant du peu de liberté pour profiter au mieux. Elle respire fort.

— Ouiiiii… mes seins ! Il me tord les tétons… J’ai mal, il tire fort… J’ai mal ! C’est bon… Oui, encore…

Elle est près de la jouissance. Je le reconnais à sa façon de respirer de plus en plus fort, s’essoufflant uniquement par le plaisir.

— Dis-le ! Je veux t’entendre le dire. Crie comme tu le fais avec ton amant pendant qu’il te lèche !
— Ouiiii… C’est bon… Encore… encore… Ahhhhh !

J’adore ce cri libérateur. Manifestement, le prénom de Gérard l’a galvanisée. C’est la preuve que j’ai raison et que je peux continuer sur ce chemin.

Je lui laisse un peu de ...