Label Bouchère - Histoires de Sexe

Label Bouchère

... ce n’est pas votre mari, le prochain qui va se faire sucer ?
— Oui, et alors ?

Je lui désigne la file d’hommes :

— Votre homme va bientôt se faire sucer, vous l’acceptez, mais vous ne me comprenez pas au sujet de ma femme ?
— C’est pas pareil ! Je suis une femme, vous êtes un homme.

Décidément, je ne m’y ferai jamais, à cette logique dite féminine, même si ça fait partie du charme de nos compagnes ! Je décide de pousser un peu plus loin mon argumentaire :

— Permettez-moi de ne pas vous comprendre… Au fait, vous ne souhaitez pas aider ma femme dans son entreprise philanthropique de soulagement de tous ces pauvres hommes ?

Elle ne répond rien, un sourire crispé aux lèvres. Elle veut, elle veut pas ? Elle aimerait bien, mais elle n’ose pas ? Ou bien, ça ne l’intéresse pas ? Un peu cynique, je continue sur ma lancée :

— Sinon, à défaut de soulager ces pauvres hommes, je peux vous proposer de vous soulager, vous.
— Moi ? Comment ça ?
— Que diriez-vous de vous faire sucer, lécher, masturber ou de vous tripatouiller le bonbon par ma femme… ou par moi ?

Elle me regarde avec des grands yeux :

— Me faire… sucer… par votre femme ! ? Je ne suis pas une gouine !
— Alors par moi, dans ce cas. Ce serait un bon équilibre dans votre couple : votre mari par ma femme et vous par moi. Qu’en pensez-vous ?
— Vous… vous plaisantez ?
— Pas du tout. Je suis persuadé que vous mouillez déjà !

Et je joins le geste à la parole en glissant ma main sous sa jupe. Et en ...

... effet, j’y découvre une culotte plutôt humide. Interloquée, Aline ne réagit pas. Mon doigt se glisse avec dextérité sous le tissu mouillé, puis câline des lèvres moites avant de remonter vers un clitoris bien niché au chaud.

Tandis que je masturbe impunément sa femme qui se laisse faire malgré ses faibles protestations initiales, son mari est en train de se faire sucer à quelques pas. Sans vergogne, je me plaque contre son dos, lui capturant un sein, mon autre main s’agitant frénétiquement dans une petite culotte détrempée. J’en profite pour coller contre ses fesses mon mandrin bien dur afin de lui faire sentir l’effet qu’elle me fait. Aline gémit sous ma caresse insidieuse.

— Oooh ! Vous êtes un salaud !
— Oui, je suis un gros salaud, mais vous êtes une petite dévergondée qui est en train de mouiller à fond sa petite culotte !

Elle ne répond pas, mais vue la façon dont elle ondule autour de mes doigts et comment elle remue des fesses contre ma queue, aucun doute ne subsiste ! Je continue donc ma sensuelle prospection sur elle et en elle. Peu après, un tressaillement la prend tout entière, elle se tend comme un arc pour jouir de tout son saoul. Je constate avec amusement que son mari est justement en train de se vider dans la bouche de ma femme. Ce couple est en parfaite synchronisation…

Ça a été rapide, furtif même, mais excitant ! Et aussi imprévu, les joies du hasard qui fait souvent bien les choses. Après tout, comme ma femme se divertit comme une petite folle, ...