1. Label Bouchère


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fh, fhhh, fplusag, couple, extracon, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    À l’époque, la boucherie-charcuterie Bonnet bordait la place de la mairie de Corbrecourt, où nous jouions tous à l’ombre des grands châtaigniers, tandis que les anciens devisaient sur leurs bancs. Je ne suis resté que trois-quatre ans dans ce village, mais il m’a marqué. Sa boucherie surtout.
    
    Taciturne, assez grand, bien costaud, Monsieur Bonnet maniait souvent bruyamment la hachette pour découper les viandes et briser les os, et je me souviens que ça nous hérissait les cheveux de le voir manipuler son instrument de la sorte. Son atelier de découpe était parfaitement visible du comptoir. Nous avions l’impression qu’il était un ogre échappé des anciennes légendes. D’ailleurs, certains parents n’hésitaient à menacer leur marmaille récalcitrante de la venue du boucher pour transformer en chair à saucisse les enfants désobéissants.
    
    Autant Monsieur Bonnet pouvait être terrifiant, autant madame Bonnet était avenante, singulier contraste. Brune piquante, pas encore la quarantaine, elle tenait la caisse, servant les clients, et n’était pas avare de ses charmes plutôt pulpeux. Combien de fois dans mes rêves enfiévrés, madame Bonnet a été ma princesse à délivrer de son horrible geôlier !
    
    Je voyais bien que j’avais de la concurrence, car la plupart des hommes du village aimaient faire causette avec la belle bouchère, et lorgnaient avec avidité dans son décolleté qu’elle ne se gênait pas de dévoiler, poussant parfois la coquinerie à se pencher pour mieux qu’on plonge mieux ...
    ... dedans. Inutile de dire que la plupart des femmes de ces hommes du village voyaient ça d’un autre œil que celui de leur mari. Ce qui occasionnait parfois des disputes qui cessaient aussitôt que le taciturne boucher venait voir ce qui se passait. Tandis que tout le monde se dispersait, silencieusement, il hochait la tête, puis regardait longuement sa femme avant de repartir ensuite dans son antre.
    
    Madame Bonnet méritait bien son patronyme, elle avait du répondant sous le cou et derrière la blouse, blouse qu’elle ne mettait pas tout le temps. Ni trop peu ni trop de trop, deux belles masses à faire rêver n’importe quel homme ou adolescent normalement constitué selon les critères de l’époque. Et moi, j’aimais bien me dévouer pour aller cherche la viande ou la charcuterie, rien que pour pouvoir la voir, elle et ses deux monts aux merveilles.
    
    En ce mercredi de fin de printemps, sur injonction maternelle, je trottine allègrement vers la boucherie pour y acheter quatre tranches de jambon pour le repas du midi. J’ai largement le temps de faire l’aller-retour avant le déjeuner et avec un peu de chance madame la bouchère sera aujourd’hui dans une robe agréable à l’œil.
    
    Je pousse la porte vitrée et je découvre que je suis le seul client. Je constate avec un immense plaisir que ma jolie bouchère est vêtue d’une petite robe légère qui la met en valeur, et même pas de blouse par-dessus, et les jeux de lumière laissent deviner certaines choses par dessous. Ça met aussitôt de l’animation ...
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