1. Label Bouchère


    Datte: 26/09/2018, Catégories: fh, fhhh, fplusag, couple, extracon, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral préservati, pénétratio, confession, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... dans mon ventre et dans ma culotte !
    
    — B-bonjour, Madame la B-bouchère !
    — Bonjour mon petiot bafouilleur. Tu veux quoi aujourd’hui, mon petiot Denis ? Du jambon, comme d’habitude ?
    — O-Oui, q-quatre tranches de jambon.
    
    Un peu mal à l’aise, je me tortille sur place. Soudain, à travers la vitre, je la vois se pencher pour choisir un morceau de jambon. Je suis exactement dans l’axe, et j’ai droit à une splendide vue sur son décolleté, sur l’attache noire de son soutien-gorge encadré par deux seins frémissants et appétissants, et comble de la profondeur et du bonheur, je peux voir aussi la douce surface de son ventre, dont la courbe flirte avec le tissu tout proche.
    
    Inutile de dire que cette vision me poursuivra durant des années. Pour l’instant, j’en attrape des bouffées de chaleur et des sueurs abondantes. Je me demande même si je ne vais pas me liquéfier sur place !
    
    Le temps est suspendu, je suis en train de planer entre les monts et merveilles de la belle bouchère, je flotte, je suis ailleurs. Ces seins tout doux, tout mous, qui oscillent délicatement sous les mouvements de leur propriétaire. C’est une vision paradisiaque. Hélas, je suis obligé de redescendre sur terre.
    
    — Voilà tes quatre tranches. Il ne te faut rien de plus ?
    — Ah ! ? Euh… non… quatre tranches, c’est… c’est tout… M-merci !
    
    Puis je sors assez précipitamment du magasin, car quelque chose est tendu à mort dans mon caleçon ! À peine suis-je dehors que c’est visiblement les grandes eaux. ...
    ... Je dois me dénicher un coin isolé pour réparer les dégâts. J’ai mis un certain temps pour reprendre une bonne contenance et surtout nettoyer l’inondation !
    
    Je ne peux pas m’empêcher de penser aussi à un certain souvenir bien vivace à chaque fois que je passe près d’une meule de foin. Non pas mes propres amourettes d’ado, mais à nouveau, à Madame Bonnet.
    
    Je ne sais plus très bien pour quelle raison j’avais traversé ce champ dans lequel il y avait diverses meules de foin, pas loin du chemin des alouettes. Est-ce d’ailleurs important ? Par amusement, j’allais en catimini de meule en meule, comme un espion ou un soldat. Sans doute suite à un film vu récemment. Retournons à cette époque…
    
    À pas furtifs, je vais de meule en meule, je glisse, je furète ; personne aux alentour, tout se présente bien. Rien à droite, rien à gauche, ni en face, je slalome, jouant avec les petits accidents du terrain. Soudain alors que je viens juste de ma plaquer contre une nouvelle meule, j’entends des soupirs et des gémissements venant sur le côté. Intrigué, je m’approche à pas de loup. Me cachant bien, je découvre deux corps plongés dans la meule face à celle qui me sert de paravent. Je ne mets pas beaucoup de temps à constater que c’est Madame Bonnet qui semble offrir ses faveurs à un jeune ouvrier agricole, Didier, celui qui est revenu du service militaire, il y a peu de temps.
    
    J’aurais pu m’enfuir, mais voilà, non seulement il s’agit de Madame la bouchère, les seins à l’air et n’ayant ...
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