Un c4 à cause des fantasmes de mon mari ...
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
BDSM / Fétichisme
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... Non, mon chat ! je pense que ce n’est plus vraiment nécessaire, lui répondis-je plein d’espièglerie.
Et je filai telle une voleuse non sans l’avoir malgré tout embrassé. Autant la veille ça l’avait excité…, là, cela avait l’air de plutôt l’angoisser. Tant pis pour lui, par sa faute j’avais perdu mon emploi, il n’avait qu’à y réfléchir à deux fois avant de s’engager sur cette voie.
Je prenais donc la route de l’immeuble abritant le P.D.G. de la boîte qui m’employait. Son directeur m’avait virée, son président ne verrait peut-être pas les choses ainsi !
Une fois à l’accueil, je signalai ma présence. N’ayant pas pris de rendez-vous, je m’attendais à être refoulée dès ce premier barrage, mais à ma grande surprise, à l’annonce de mon nom on me fit patienter… Certes bien deux heures, mais monsieur Samuel Tirail me reçut finalement un peu avant midi.
J’entrai donc dans son bureau, ce dernier ressemblait bien plus à la suite d’un hôtel haut de gamme qu’à un lieu de travail… enfin, de ce que j’en imaginais, ne m’étant jusqu’alors toujours contentée que de fréquenter des chambres d’hôtels bon marché.
Monsieur Tirail vint à ma rencontre pour me saluer. Me prenant la main, tout grand sourire, il me guida vers le canapé d’un salon accueillant certainement les personnes qu’il recevait pour les faire patienter. Il s’agissait d’un homme d’une cinquantaine d’années au charisme intimidant. Un peu grassouillet, une calvitie déjà bien prononcée gagnait du terrain sur son front ...
... et, chaussée sur son nez, de gros binocles à doubles foyers recouvraient ses yeux créant chez lui un regard troublant. Sam Tirail n’était donc pas un canon de beauté, mais allez savoir pourquoi, ce dernier ne me laissait pourtant pas indifférente.
M’asseyant, il prenait place sur le fauteuil me faisant face en me disant :
— Alors, Madame Lefort, que me vaut le plaisir de votre visite ?
— Mon licenciement !
Il eut l’air surpris… Certes, avec tous les collaborateurs qu’il devait avoir, il était probable qu’il n’ait jamais entendu parler de moi, je me montrai donc un petit peu plus précise.
— Voyez-vous, cela fait maintenant cinq ans que je travaille pour vous avec des états de services dont il ne me semble pas avoir à rougir. Je pense avoir toujours mené à bien toutes les missions qui m’ont été confiées et je n’ai jamais ménagé mes efforts pour servir au mieux les intérêts de mes employeurs… donc les vôtres !
— Oui…, je me suis bien sûr un peu renseigné à votre sujet avant de vous recevoir, mais je dois reconnaître que je n’avais pas encore été informé du fait que vous ayez été remerciée. Que s’est-il passé Madame Lefort ?
— Un problème vestimentaire !
— … ?
— Vous m’avez bien entendu. Pour des raisons qui me regardent, il m’arrive de ne pas porter de culotte. Même si des jupes un peu volantes m’habillent souvent, cela passe généralement inaperçu, mais apparemment monsieur Marc Tapaje, mon directeur, s’en est rendu compte et cela l’a assurément choqué. ...