1. Un c4 à cause des fantasmes de mon mari ...


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou BDSM / Fétichisme Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... plaisir de mon Jules bien entendu, d’enfoncer encore le clou…
    
    — Alors, oui, t’es cocu, mon chéri et tu n’as pas fini de l’être !
    
    Jacques fit une pause pour me regarder d’un œil qui avait quelque chose de différent, peut-être plus doux…, reconnaissant…, en tout cas, heureux et satisfait assurément. Je poursuivis mon imposture :
    
    — Il m’a fait jouir comme jamais, ma chatte est fatiguée… suce-moi plutôt les orteils !
    
    N’est-ce pas ce que font les cocus habituellement… lécher les pieds de leurs femmes ?
    
    Jacques eut un petit moment d’hésitation. Être si directive n’était pas dans mes habitudes, d’ordinaire c’était lui qui prenait les devants, c’était encore lui qui demandait, voir implorait… Là, il subissait, mais l’intonation sèche que j’avais employée ne laissant pas de place à la discussion, il s’exécuta. De l’entrecuisse, ses lèvres surfèrent sur mes jambes pour finir sur mes escarpins. Mon cocu en retira un avec délicatesse pour en extraire un pied, doux et pédicuré, sur lequel il déposa ses baisers avant de le débarrasser de la soie brillante de mon bas qui l’habillait encore. Alors qu’il s’employait à me lécher et aspirer un à un mes orteils avec application, je dégrafai son pantalon pour en sortir une queue gonflée d’excitation que je branlai un instant, admirant un moment son phallus bandé ainsi que son gland gonflé et décalotté. Mon homme, lui, continuait de s’occuper de mes petons… il les gobait, les aspirait et laissait de temps à autre glisser sa langue ...
    ... sur ma voûte plantaire en gémissant doucement. Il avait l’air d’aimer ça le coquin, j’en rajoutai donc encore un peu. Délaissant son sexe pour flatter le mien, je lui ordonnai : « branle-toi maintenant ! »
    
    Contre toutes attentes, cette situation inédite me procura énormément de plaisir et ma jouissance, alors que je le regardais se caresser, fut d’une rare intensité. Je ne me rappelle pas avoir vu Jacques éjaculer… et seul son poitrail recouvert de sperme témoigna de son orgasme.
    
    Le restant de la soirée se passa dans une atmosphère étrange… un peu froide, Jacques n’était pas très bavard. Une fois tous deux couchés, alors que j’étais sur le point de m’endormir, en me prenant dans ses bras il me demanda timidement.
    
    — As-tu aimé ?
    
    — Quoi donc ?
    
    — Te faire baiser par ton patron…, as-tu aimé ?
    
    — Oh oui… Incomparable !
    
    — Pourquoi ? Qu’avait-il de plus ?
    
    — Il n’envisage pas de me déguiser en soubrette, quant aux cornes…, il les préfère sur ton front que sur le sien !
    
    –––oooOooo–––
    
    J’avais passé une nuit blanche, Jacques quant à lui avait ronflé comme un bébé. Stressée, trop de problèmes me pesaient : le candaulisme de mon mari, mon licenciement et le fait que je n’avais rien dit à ce dernier…, il me fallait trouver des solutions et j’avais ma petite idée.
    
    Ce matin-là…, prenant mon petit-déjeuner et me préparant comme si de rien n’était, Jacques m’interpella alors que je m’apprêtais à partir :
    
    — As-tu mis une culotte aujourd’hui, ma chérie ?
    
    — ...
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