1. Un c4 à cause des fantasmes de mon mari ...


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou BDSM / Fétichisme Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    Auteur : L'artiste
    
    — Retire-la !
    
    — Quoi ?
    
    — Eh bien… ta culotte, retire-la, s’il te plaît !
    
    — Il est bien trop tard, mon coquin, et je n’ai pas le temps de m’amuser, je vais vraiment être en retard au boulot.
    
    — Cela ne prendra que quelques secondes, ma chérie. Tu es si belle habillée ainsi…, tes bas subliment tes jambes, cette petite jupe légèrement volante te va à ravir et ça m’exciterait tellement que tu sois nue en dessous, pour aller travailler.
    
    — Mais tu es fou, il n’en est pas question ! Imagine que quelqu’un s’en aperçoive…, pour qui vais-je passer ?
    
    — Mais j’espère bien que ce sera le cas ! L’idée que tu puisses te faire mater me plaît… et ce serait encore mieux que le mateur puisse être excité.
    
    — Tu as perdu la raison, moi, je préfère de loin que tes fantasmes restent privés.
    
    — S’il te plaît, mon ange, tu ne risques pas grand-chose et ça me ferait vraiment plaisir. Rien que d’y penser… j’ai des frissons !
    
    — Mais… euh…
    
    — Fais-le, s’il te plaît !
    
    — Tu n’es qu’un pervers, Jacques, t’es mignon…, un amour, mais un pervers quand même. Si ça continue comme ça, tu me demanderas bientôt de sortir en portant des oreilles de lapin !
    
    — Alors, t’es d’accord ?
    
    — Je ne veux pas en prendre la responsabilité, si tu me veux sans…, enlève-la toi-même !
    
    Jacques ne se fit pas prier, se rapprochant, il s’agenouilla devant moi, en me fixant intensément du regard il glissa doucement ses mains sous ma jupe et tout en me déposant de doux baisers ...
    ... sur les cuisses, fit descendre l’objet du litige centimètre après centimètre vers le sol. Une fois le pan de tissu aux chevilles, il se saisit d’un de mes pieds, en retira l’escarpin qui le chaussait et y attarda ses lèvres un instant pour l’embrasser passionnément. Il fit de même pour le second et brandit fièrement le bout de textile qui me servait de culotte au-dessus de sa tête comme s’il s’agissait d’un trophée. J’allai prendre congé, me retournant malgré tout avant de m’éclipser, j’embrassai la paume de ma main et d’un air coquin, lui soufflai ce baiser. Un sourire radieux et satisfait illuminait son visage.
    
    C’est ainsi que je me rendis au bureau ce jour-là : privée de mon sous-vêtement et les fesses à l’air ! Bien sûr cela me gênait bien plus que ça ne m’excitait… mais que ne ferais-je pas pour satisfaire les désirs déviants de mon homme ! Bon, autant quand même m’estimer heureuse, j’avais réussi à échapper au port des oreilles de Rabbit !
    
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    Je travaillais alors dans une usine de textiles : surveiller la production des chemises, des pantalons, des vestes en tous genres et gérer le personnel était mon quotidien. La trentaine, l’on me disait coquette, mignonne, gentille et sérieuse. Bien consciente du trouble que je provoquais à la gent masculine, j’étais heureuse de travailler dans un milieu essentiellement féminin et n’aspirais qu’à vivre paisiblement mon quotidien. Mon mari me comblait, ma vie routinière de couple me satisfaisait et le confort, ...
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