1. Un c4 à cause des fantasmes de mon mari ...


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou BDSM / Fétichisme Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    ... Comprenez ma surprise, vous, par exemple, cela vous perturbe-t-il ?
    
    — Pardon ?
    
    — Je n’en porte pas non plus aujourd’hui et je me demandais si cela vous avait posé un quelconque problème ?
    
    — j’avoue ne m’en être pas rendu compte, donc je ne saurais vous dire…
    
    Alors qu’il me répondait, j’entrouvris légèrement les cuisses afin de laisser respirer mon sexe qui commençait à luire d’émotion. Sa gêne étant certaine, je l’interrompis pour poursuivre :
    
    — C’est bien ce que je pensais, cela ne se voit pas ! Sauf bien sûr quand je le souhaite, mais je peux vous assurer que concernant monsieur Tapaje, je n’ai jamais voulu que cela soit le cas. J’en déduis donc que votre collaborateur nourrit des pulsions voyeuristes perverses et surtout, que ce dernier ne les assume pas. Je me sens lésée pour deux raisons, monsieur Tirail… et c’est pour cela que je viens faire appel à votre bon sens.
    
    Tout en lui parlant, mes genoux semblèrent attirés sur les extérieurs par une force imperceptible, mais irrésistible. Mon interlocuteur, lui, ne dé-scotchait plus son regard de mon entrejambe… le spectacle que je lui offrais ne le laissait pas insensible et un large sourire ne quittait plus son visage. Il me répondit, un peu niaisement :
    
    — Euh… oui…, quelles sont donc ces raisons… ?
    
    — Eh bien, elles me semblent pourtant claires. D’abord, mon licenciement… abusif à mon sens et uniquement dû à la frustration d’un homme n’assumant pas ses propres travers. Puis, bien sûr, je me sens ...
    ... vexée : je ne trouve pas mes fesses si moches que cela, il semblerait pourtant que monsieur Tapaje ne les ait pas appréciées à leur juste valeur. Quant à vous, monsieur Tirail, comment les trouvez-vous ? lui demandai-je, tout en positionnant ma main, délicatement, sur le haut de ma cuisse pour en rajouter à l’intensité du moment.
    
    Je visais juste, Sam Tirail semblait conquis ! Son visage rosit, des gouttelettes de transpiration perlèrent à son front et, de sa bouche grande ouverte, un « ohhh » admiratif s’échappa spontanément :
    
    — Rentrer donc la langue, monsieur Tirail ! Ma question est pourtant simple : préféreriez-vous me voir porter une culotte, ou pas ?
    
    — Euh… non, bien sûr ! Vos fesses sont magnifiques et sont certainement bien mieux à l’air libre.
    
    — À la bonne heure, elles vous plaisent ! Voilà donc au moins un problème presque résolu. Désireriez-vous les caresser ?
    
    Sam Tirail ne répondit rien et à défaut se leva, s’approcha et s’agenouilla face à moi tout en me déposant ses dextres sur chacune de mes cuisses, que j’écartai un peu plus largement tout en avançant légèrement mon bassin dénudé à sa rencontre pour l’accueillir plus chaleureusement. On ne pouvait pas dire que cet homme me plaisait…, il devait bien avoir 20 ans de plus que moi et son physique n’était pas vraiment attirant, toutefois cette situation me provoqua un émoi certain. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas senti quelqu’un, hormis mon mari, me désirer ainsi. Jamais je ne l’avais ...
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