Un c4 à cause des fantasmes de mon mari ...
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
BDSM / Fétichisme
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... il voulait que je le dépanne, sa secrétaire étant malade, il espérait me voir taper un rapport pour lui.
— Comment s’en est-il rendu compte ?
— Il me dictait donc ce dernier, mais étant absorbée par l’écriture du document, je ne m’en suis pas aperçue tout de suite… !
Commençant mon histoire imaginée de toutes pièces, Jacques lui, semblait de plus en plus sous tension. Me saisissant par le bras pour m’entraîner avec lui au salon, il m’invita à prendre place sur le canapé et voulut en savoir un peu plus.
— De quoi ne t’es-tu pas aperçue, mon ange ?
— Eh bien, alors qu’il cherchait ses mots pour la suite de ce fameux rapport, dans l’attente je me suis aperçue que mes genoux n’étaient plus vraiment joints et en levant les yeux, je constatais que ce n’était pas ses mots qu’il cherchait… Son regard pointait entre mes cuisses et il semblait être hypnotisé.
— As-tu aimé le troubler ?
— Je les ai écartées un peu plus !
— Non ? Tu n’as pas osé ?
— Ben si…, je dois bien avouer que de constater l’effet que je lui faisais ne me laissait pas indifférente… alors, oui, je suis désolée, mon chat, mais j’ai perdu la raison et j’ai fait en sorte de lui permettre d’avoir un point de vue bien plus confortable ! M’en veux-tu beaucoup ? lui demandai-je hypocritement.
Mon mari, tout en m’écoutant lui raconter mes frasques, s’accroupissait face à moi sur le tapis du salon. Ses mains se posèrent sur mes chevilles, ripèrent doucement sur la soie du bas me recouvrant les ...
... jambes, glissèrent sur ma peau en s’aventurant sous ma jupe pour finir par atteindre ma croupe, nue bien entendu, qu’il empoigna fermement tout en déposant timidement ses lèvres sur mon sexe imberbe et détrempé d’impatience.
— Mais, qu’est-ce que tu mouilles, ma coquine ! Je ne pensais pas que tu puisses oser aller si loin… Ne me dis quand même pas qu’il t’a baisée ?
— N’était-ce pas ce que tu espérais ?
Jacques ne répondit pas… bien trop occupé à embrasser l’abricot, mûr et goûteux qui s’offrait à lui, il se contenta de hocher la tête en signe d’approbation. Surprise d’être tant excitée par cette situation, j’agrippai fermement ses tempes pour lui coller ses lèvres un peu plus franchement sur mon sexe tout en soupirant de bonheur. D’une langue, douce et curieuse, mon Jules me lapait, fouillait, naviguait le long de ma raie et se montrait au fur et à mesure de plus en plus explorateur, me transportant avec plaisir dans un univers enivrant et vraiment délicieux. Si j’avais émis quelques réserves concernant son fantasme candauliste, si j’eus une légère appréhension à lui faire croire que je m’étais donnée à mon boss… là, nul doute que tout cela lui plaisait…, l’intensité de la gâterie à laquelle j’avais droit me rassura. Certes, ma vie professionnelle partait en lambeaux, ma réputation allait à coup sûr en prendre aussi un sacré coup…, alors pour l’heure, quitte à être dans le mensonge autant en tirer un minimum de satisfaction : je décidai donc, pour le plus grand ...