1. On se déshabillera plus tard


    Datte: 24/09/2018, Catégories: fh, hplusag, médical, revede, pénétratio, Humour h+medical, Auteur: Jeff169, Source: Revebebe

    ... Bien, je me débrouille sans et alors, je n’ai réussi qu’à entrer le gland, tu sais, le bout du pénis ? Bref, c’est pas rentré beaucoup plus au début, elle poussait des petits cris, je n’ai jamais su si c’était de plaisir ou quoi. J’ai essayé de lui parler tendrement, de poser quelques questions : une tombe ! Et voilà. Bon, j’ai essayé de me montrer câlin, sans plus de succès. Maintenant, l’histoire devient intéressante : figure-toi qu’à la soirée des anciens élèves, deux ans plus tard, c’est-à-dire il y a deux ou trois ans maintenant, je retrouve la coincée. Tu devines bien que j’avais pas remis les pieds dans sa chambre à l’époque.
    — Ben, non ! acquiesce Anne Laure d’un air entendu.
    
    Les plats arrivent, cette fois on picore, comme si nous étions l’un et l’autre captivés par une histoire racontée par un tiers, mais non, c’est moi qui parle, inventant au fur et à mesure. Cette fois elle semble détendue et intéressée, écoutant avec plaisir ce récit ne sortant pas vraiment du Reader’s digest :
    
    — Alors ça papote poliment et tu vas pas me croire, voilà qu’elle m’entreprend, me sert à boire, me colle et m’apprend en trois phrases qu’elle à une chambre de bonne, à deux rues, pour son dernier stage et voilà qu’elle veut me la montrer, comme ça, si j’ai rien d’autre à faire. Cinq minutes plus tard, elle me montre la petite chambre. « Qu’es-tu devenue depuis tout ce temps ? » je demande, pour commencer en douceur. Alors, elle se tourne vers moi, me prend par la nuque et ...
    ... m’embrasse goulûment, puis, son autre main rentre dans mon pantalon, forçant le passage de la ceinture, elle m’empoigne la queue !
    — Tu veux un peu de Vittel ? Je demande alors à Anne Laure, le temps qu’elle imagine une main féminine m’empoignant.
    — Oui, merci, dit-elle d’une voix fraîche.
    
    D’une voix fraîche ? Anne Laure s’adapte ! Je continue.
    
    — On se déshabille façon express, puis elle m’engloutit la queue de sa
    
    bouche, la tartinant de salive. Rapidement, elle nous fait allonger l’un à côté de l’autre sur le lit. Alors, je vais pour la caresser entre les jambes : « Non, pas là ». Encore, je me demande alors, ça recommence ? Mais non, ce n’est pas cela : « J’ai mes règles, enfile-moi l’autre trou » elle dit. Elle avait tellement dégouliné de salive sur ma queue, maintenant je comprends pourquoi. Ça prend du temps évidemment, faut y aller doucement. Ça finit par entrer complètement, puis, elle dit : « Ne bouge plus. » Et elle me prend la main, la mouille, la guide vers son clitoris et dit : « N’arrête pas. » Alors, c’est bien, elle se trémousse au bout d’un moment sous les caresses et gémit. J’ai trouvé une position confortable, on ne bouge pas trop les bassins au début, puis tout s’est bien passé.
    
    Je clos ainsi la description, manquant d’idées à chaud, et autant laisser finir l’imagination. Peut être aussi, je trouve que ça commence à être lourd ce genre de détails, je poursuis alors la conversation :
    
    — Tu imagines la transformation ? Je suppose qu’elle a fait ...
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