1. Le bus


    Datte: 22/09/2018, Catégories: fh, cocus, hotel, noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... verrez, j’ai un peu d’expérience…
    
    Et sans attendre autre chose qu’un "merci" tout automatique, il repart et nous le voyons disparaître dans l’obscurité.
    
    — Il ne manque pas de toupet. Nous suivre ! Il s’attendait à quoi ? dis-je, tout de même sidérée par cette scène inattendue.
    — Moi, je le comprends. Si j’avais été à sa place, j’aurais fait la même chose !
    — Comment ?
    — Mais oui : si un mari me laissait regarder l’intimité de sa femme…
    — Mais je dormais, et toi tu ne savais pas que…
    — D’accord, mais lui ne pouvait pas le deviner. Il a devant lui un couple qui le provoque. Du coup il les suit, et un peu plus loin il voit la femme relever sa robe pour bien s’exhiber.
    — Mais je…
    — Bien sûr, chérie, mais mets-toi à sa place.
    — Je te retourne le compliment ; pour l’instant, c’est toi qui te mets à sa place, dis-je en riant.
    — À sa place et à la mienne. À sa place pour espérer. À la mienne pour obtenir. Viens.
    
    Paul me prend par la main et nous faisons littéralement les derniers mètres qui nous séparent de la maison au pas de course. Le portail franchi, la pénombre est plus forte. La haie procure une ombre propice. Toutes les lumières sont éteintes. Il est tard, tout le monde dort et les chambres donnent de l’autre côté.
    
    Il me prend dans ses bras. Il m’embrasse avec fougue. Sa main se saisit de la mienne pour me guider vers son pantalon. J’y découvre une belle bosse. Il bande.
    
    — Ça m’excite de te savoir sans culotte.
    
    Je comprends. Mais ce que je comprends ...
    ... surtout, c’est que ce qui vient de se passer avec cet homme doit le troubler, comme cela me trouble d’y penser. Avec le recul, je peux imaginer ce que cet inconnu a dû imaginer de me découvrir nue sous ma robe avec ce mari si complaisant pour exhiber sa femme.
    
    Je sais ce que veut mon mari. Cette façon de me faire découvrir sa virilité n’est pas nouvelle. Cela fait partie de nos jeux.
    
    Défaire sa ceinture.
    
    Tirer sur la fermeture Éclair.
    
    Abaisser le pantalon.
    
    Découvrir sa verge en descendant son slip.
    
    Agenouillée, son mandrin sous les yeux, je l’aide à enlever pantalon et slip. Rien n’est plus laid et vulgaire qu’un homme le pantalon sur les chevilles.
    
    Ma main prend la mesure de l’érection. Sa queue est chaude et dure, ses bourses gonflées de désir. Il peut gémir, personne ne l’entendra, alors que je pose mes lèvres sur ce gland si doux. Je le suce comme il aime. Comme j’aime le faire car j’ai toujours aimé le sucer, le sentant gonfler encore plus dans ma bouche, le gobant jusqu’à m’étouffer. Souvent je le pompe jusqu’à ce qu’il crache dans ma gorge et que nous échangeons ce regard dont je ne me lasse jamais et qui me déclare salope et vicieuse alors que je gobe son jus d’amour.
    
    Mais ce soir il a envie d’autre chose. Il me relève et me pousse pour m’appuyer contre la table de jardin. Je dois avoir un drôle d’air, placée ainsi, la robe relevée, comme une pute que l’on prend au bois. Déjà je sens la queue que j’ai léchée. Elle trouve le chemin de ma fente ...
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