Le bus
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
hotel,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... "sans coup férir" et accompagné par un "vouiii" mon homme m’embroche d’un seul coup.
— Oh, ça me semble bien humide. Coquine ! Toi aussi ce mec t’a excitée.
Sa remarque ne demande pas de réponse, et d’ailleurs il n’en attend pas car aussitôt il me travaille à grands coups de reins. Il est dur, gros, envahissant comme j’aime. Car j’aime, oui, j’ose dire que j’aime lorsqu’il me prend ainsi, un peu à la sauvage, à l’arrache, un peu brutal, une façon qu’il avait abandonnée pendant ma grossesse. Mais avant et à nouveau maintenant, lui comme moi aimons ces baises surprises, hors de la chambre, loin du lit, dans la voiture, en forêt, une montée d’escaliers, enfin tout ce qui apporte un surplus d’adrénaline, tout ce qui nous éloigne des rôles gentillets de mère et père de famille.
Il me laboure et c’est bon. Heureusement que la table est scellée dans le sol sinon elle avancerait sous notre poussée. Je me penche, je me cambre, je tortille du cul, lui offrant quelques millimètres de plus et une vue que j’espère perverse sur mes reins.
— Ah, c’est bon… Ça me manquait. Pas toi ?
— Si, mon chéri, continue, fais-moi jouir ; et j’ajoute, un tantinet vicieuse : pense à ce pauvre homme que tu as excité et qui est seul maintenant.
— C’est vrai, le pauvre, alors que moi…
Il va-et-vient avec une ardeur renouvelée. Maintenant il a agrippé mes cheveux et me force à me cambrer encore plus. Notre musique continue : claquements de peaux, clapotis de bite qui flotte dans une chatte ...
... humide, tous ces bruits naturels, rythmés par des "Han", des "Mumm", des "C’est bon", des "Oui" ; enfin, tout ce qui excite encore plus.
Et puis soudain un relâchement. Ma tête est libérée en même temps que ma chatte. Deux mains se sont saisies de mes fesses pour les écarter et Paul y laisse couler de sa salive. Déjà sa bite se charge de la guider vers mon petit trou, et d’une poussée délicate celui-ci s’ouvre pour le gland. En trois, quatre secondes je suis remplie de son mandrin. Il est gros et dur. Chaque fois je le sens comme si c’était la première fois car lui, mon cul, malgré des visites fréquentes reste étroit. Voilà, Paul est bien au fond, m’enculant comme chaque fois depuis mon accouchement pour se vider dans mes entrailles. Pour l’instant je n’ai pas recommencé la pilule et suis donc fertile. Aussi, soit je "finis" mon homme à la bouche ou dans mon cul.
Il reprend ses mouvements. Plus lents, moins forts pour faire durer son plaisir et le mien.
Lorsque j’ai connu Paul, il avait longtemps que j’avais perdu ma virginité, aussi bien celle de ma minette que celle de ma bouche. Aussi il m’a semblé naturel de lui offrir celle de mon petit trou. Très vite il en a joué pour mon plus grand plaisir, et puis doucement, petit à petit, Paul m’a offert le sien. D’abord d’un doigt pour augmenter son érection et sa jouissance. Puis deux, puis un de mes sextoys, puis un gode mieux adapté, et enfin avec un gode-ceinture avec lequel je suis un mâle qui baise une femelle. Il y a ...