Le bus
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
hotel,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... en sors une petite culotte.
— C’est cette culotte-là qu’il regardait ?
Paul est étonné.
— Quoi ?
— Figure-toi qu’à la soirée j’ai tellement ri que j’ai mouillé ma culotte. Cette culotte.
— Tu me fais marcher… c’est une de rechange.
— Mais non. Ton voyeur, ce n’est pas mon string qu’il regardait, mais quelque chose qu’on ne voit pas normalement à la piscine ou à la plage, comme tu dis.
— Tu veux dire ton minou ?
— Eh oui ! Tu ris moins maintenant.
— Mais je croyais que tu avais réglé ce problème.
— Moi aussi. Mais ils m’ont fait tellement rire aux larmes que je n’ai rien senti.
Ce problème ! Un problème bien banal après un accouchement. Besoin de rééduquer le périnée. La kiné m’avait montré les mouvements mais aussi m’avait conseillé l’achat d’un accessoire pour m’entraîner chez moi. Un genre de petit sextoy relié par bluetooth à mon smartphone et une application qui montrait la force et la localisation des contractions musculaires. Je m’étais si bien rééduquée que Paul appréciait maintenant que je m’exerce sur son sexe alors qu’il me possédait. Ce massage interne avait sur lui un effet digne d’une fellation.
Pourtant, malgré mon aveu et cette culotte qu’il tenait en main, il paraît encore sceptique.
— Lise, tu plaisantes ! Mais oui, tu me fais marcher !
Alors je fais ce dont je ne me serais jamais crue capable, mais il est vrai que la rue est déserte à cette heure et que le faible éclairage public laisse des zones d’ombre.
— Regarde si ce ...
... n’est pas vrai, dis-je alors qu’en même temps je remonte ma robe pour dégager "l’objet du délit".
Il ne peut que constater que le gars dans le bus a dû se régaler ! En temps normal je serais fâchée de cet incident, mais ce soir je me sens d’humeur badine, résultat de l’alcool et de cette soirée où mon statut de mère s’est éloigné un instant.
— Bonsoir. Je peux vous aider ?
Paul est autant surpris que moi d’entendre cette voix et de constater qu’un homme est à quelques pas de nous. Ni Paul ni moi ne l’avons vu venir. D’un geste automatique je tire sur ma robe, mais j’ai bien conscience que le mal est fait. Pourvu que ce ne se soit pas un voisin ; pire, un ami de mes parents !
— C’est vous…
Ce n’est pas une question, plutôt une constatation. Ainsi Paul le connaît ! Son visage ne m’est pas inconnu…
— Vous habitez ici ?
— Non, pas du tout.
— Alors, vous nous suiviez !
— Oui, j’ai pensé que…
— Pensé quoi ?
— Que vous cherchiez de la compagnie pour madame. Dans le bus, votre attitude…
— Oh, cela ? Oubliez, c’était une erreur, un jeu idiot…
— Oh ! Dommage. Excusez-moi.
— Non, c’est moi : je ne pensais pas que vous pouviez imaginer que nous cherchions un partenaire.
— Alors je vous laisse. Bonne nuit.
Et il commence à s’éloigner. Pourtant, quelques pas plus loin, il fait demi-tour et revenant vers nous il tend une carte à Paul en ajoutant :
— Tenez. Si jamais vous changez d’avis, vous pouvez me joindre à ce numéro ; il y les coordonnées de mon blog. Vous ...