1. Le bus


    Datte: 22/09/2018, Catégories: fh, cocus, hotel, noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    Cela fait longtemps que je ne me suis pas sentie si bien. Il faut dire que c’est ma vraie première sortie depuis mon accouchement, le sevrage du bébé et ma remise en forme.
    
    Ah, l’alcool ! Que c’est bon ! Merde, que celles qui n’apprécient pas d’en boire après une longue période de jeûne pendant la grossesse et l’allaitement me jettent la première pierre.
    
    Modération ? Qu’ils aillent se faire voir ! J’ai fait mon devoir de mère attentive et responsable, alors je m’accorde le droit de me laisser aller. Paul aussi d’ailleurs. Lui qui, par solidarité, s’est privé de boire une seule goutte, a gagné aussi ce privilège. On a même prévu de revenir en bus pour être tranquilles. D’ailleurs c’est dans ce bus, le dernier, que je me suis endormie.
    
    — Lise ! Lise ! Réveille-toi, c’est notre arrêt.
    
    Je retrouve mes esprits. Le bus stoppe. On descend. La maison n’est qu’à quelques centaines de mètres. Actuellement, nous vivons chez mes parents car notre appartement est en travaux. Ils ont une grande maison en banlieue avec tous les avantages et les inconvénients. Assez éloignée du centre, mais en lisière d’une forêt domaniale.
    
    Il fait doux. Comme il est tard, la rue n’est éclairée que par un lampadaire sur deux, mais c’est une banlieue chic, tranquille, et on se sent en sécurité.
    
    Quelques pas et Paul qui me tient par la taille me dit :
    
    — Je me suis bien marré dans le bus !
    — Ah bon, pourquoi ?
    — Pendant que tu somnolais, ta robe s’est remontée un peu et on pouvait voir ...
    ... tes cuisses.
    — Je t’avais dit qu’elle était trop courte mais tu as voulu à tout prix que je prenne celle-là.
    — Peut-être, mais elle te va si bien… Et ne me dis pas qu’après des mois et des mois, te retrouver avec ta taille de guêpe ne te fait pas plaisir.
    — C’est vrai, mais j’ai fait ce qu’il fallait.
    — Justement. Et moi, ça me fait plaisir de te voir ainsi. Et cette belle robe te met en valeur… Tes courbes… et…
    
    Paul s’arrête pour m’embrasser. M’embrasser et me caresser.
    
    — Sois sage ; attends d’être à la maison.
    
    Il s’arrête. Nous reprenons notre chemin.
    
    — Et c’est juste ça qui t’a fait marrer ?
    — Oh non. Il y avait un gars qui te regardait. Tu sais, celui assis juste en face.
    — Celui qui nous a salués en descendant ?
    — Oui. Au début il tournait la tête dès que je le regardais, mais il y revenait à chaque fois. Il faut dire que placé comme il l’était, il devait avoir une belle vue sur ta petite culotte.
    — Et tu l’as laissé faire ? Tu aurais pu me réveiller ou je ne sais pas, moi, te mettre entre lui et moi.
    — Peut-être, mais c’était plutôt drôle. Il ne faisait que regarder. Ce n’est pas pire qu’à la piscine ou à la plage. Il ne faisait aucun geste, juste regarder. Comme il a vu que je ne disais rien, il a souri et s’est régalé.
    — Vraiment, Paul, je ne te comprends pas. Tu laisses un inconnu mater ta femme et cela t’amuse ?
    — Mais oui. C’était même un peu excitant. Je me disais que cet homme ferait de beaux rêves sur toi.
    
    Je m’arrête. J’ouvre mon sac et ...
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