Le bus
Datte: 22/09/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
hotel,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... témoin de notre luxure. Nue alors que Paul est encore habillé, se mettant ainsi "hors du jeu" pour n’être qu’un témoin. Mais mon amant est parti, et l’épouse que je suis veut redevenir la maîtresse de son mari.
En m’agenouillant, je commence à dégrafer le premier bouton de sa chemise. C’est comme si ce simple morceau de plastique avait été un barrage qui se brise. En quelque secondes la chemise est à terre, me montrant ce torse si différent de celui de Serge, mais ô combien chargé d’érotisme. J’insiste pour dégrafer la ceinture, ouvrir la braguette, tirer sur le slip et faire que mon maître se retrouve nu comme moi. C’est mon devoir de l’honorer. Il a été le plus gentil des maris, et même si c’est aussi pour lui, je lui suis redevable de la plus belle des expériences. Je le pousse sur le lit. Sa verge est encore gonflée et il suffit d’une caresse pour que le bâton se dresse. C’est un bâton que je connais et sur lequel je viens m’enquiller sans scrupule.
Je suis si salope que je compare cette bite avec celle qui vient de me faire jouir. Et alors ? Celle-ci aussi me remplit. J’ondule sur elle comme il aime me voir faire. L’épouse est bien loin aujourd’hui ; la mère cède la place à une pute pour l’espace d’un instant. N’est-ce pas ce dont rêvent tous les hommes ? Femme au foyer, mère attentive, mais dès que la porte de la chambre se referme ils veulent une femme coquine, cochonne, expérimentée, salope, demandeuse de plaisir et de jouissance ! Et Paul m’a donné la plus ...
... belle preuve d’amour en me donnant, en m’offrant à cet homme.
Je chevauche mon mari, mon maître, mon amant. Sans bouger, j’utilise mes nouvelles facultés pour le masser de l’intérieur. Mon vagin le caresse, le pompe avec des muscles qui sont des dizaines de lèvres perverses. Il ne faut pas longtemps pour que Paul m’annonce son plaisir et la montée de son sperme. Le pauvre a été si excité pendant tout le temps passé en spectateur que sa libido doit se relâcher. Il m’inonde et – non, je n’ai pas le droit d’y penser – m’offre ce que Serge n’a pu me donner par sécurité.
Nous sommes enlacés. Comme souvent, Paul s’est lové derrière moi et m’enveloppe de ses bras. Je suis heureuse et je pense que mon mari l’est aussi. Vraiment, cette idée était extraordinaire, et heureusement qu’il en a pris l’initiative.
— Merci, mon chéri, pour ce cadeau. Tu as bien fait de ne pas m’en parler car j’aurais peut-être refusé, et j’aurais eu tort. Oh, mon Dieu, comme c’était bon !
— Merci pour quoi, Lise ? Je n’y suis pour rien : c’est toi qui as décidé pour nous.
— Mais de quoi parles-tu ?
— Mais lorsque vous êtes revenus après avoir dansé, Serge m’a expliqué que cette ambiance et tous ses récits t’avaient excitée et que tu voulais essayer au moins une fois.
— Mais jamais ! C’est toi qui…
— Alors pourquoi m’avoir donné ta petite culote ? Serge m’avait prévenu en disant que si je ne disais rien tu comprendrais que j’étais d’accord.
— Mais pas du tout ! C’est bien toi qui l’a contacté et pas ...